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 Axel | Now you're just somebody that I used to know !

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London E. Wilson

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MessageSujet: Axel | Now you're just somebody that I used to know !   Axel | Now you're just somebody that I used to know ! Icon_minitimeMar 29 Mai - 14:32


AXEL & LANDON
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Il a 1 mois London avait essayé de mettre fin à ses jours, elle avait sauté par la fenêtre de son appartement. La seule chose malheureusement qu’elle avait récoltée c’était une jambe cassée et un traumatisme crânien. Les médecins lui avaient répétés tout au long de son séjour à l’hôpital qu’elle avait eu beaucoup de chance. On ne peut pas dire qu’elle voyait les choses comme ça, elle aurait eu de la chance si elle n’avait pas survécu à la chute… C’était une époque de l’année qu’elle détestait, il y a 5 ans à la même époque Sebastian mourrait dans ses bras... Et sans vraiment savoir vraiment pourquoi cette année elle avait sautée le pas sans mauvais jeu de mot. Après 2 semaines à l’hôpital elle était ressortie avec un plâtre et une obligation de se présenter tous les jours au service psychiatrie c’était la condition pour qu’ils la laissent ressortir. Si elle ne se présentait pas rien qu’une seule fois, elle était directement internée en séjour longues durées… Et c’était la dernière chose qu’elle voulait. C’est pourquoi comme tout les jours depuis 2 semaines elle avait pris un taxi vers 17h pour se rendre à l’hôpital, elle avait rendez vous à 17h30 et ne pouvant plus conduire elle prenait le taxi. Enfin bref une fois sa séance d’une heure passé elle fila toujours en taxi directement à son boulot où elle n’avait pas cessé de bosser. Si elle n’avait plus d’argent elle ne pourrait pas payer sa cam et ça c’était un réel problème. Ses parents s’occupaient de payer sa chambre étudiante et ce qui lui fallait pour manger pour le reste c’était elle qui raquait. En même temps elle se voyait mal aller voir ses parents pour leur demander du fric pour s’acheter un peu de coke et de shit. Bref elle enchaîna donc son service au café, elle termina vers 21h.

Elle ne prit pas la peine de rentrer chez elle pour se changer, son dealer lui avait donner rendez vous à une soirée. Là bas elle pourrait récupérer sa commande, 2 grammes de coke et un 20g de beuh. Elle n’y allait que pour ça, de toute façon on ne peut pas dire qu’elle avait le cœur à faire la fête. Depuis 5 ans elle n’avait plus le cœur à rien de toute façon, la mort de Sebastian l’avait démoli, et pour être sur qu’elle ne se relève pas son frère s’était tiré. Et elle s’était retrouvé seule dans sa douleur, depuis 5 ans elle sombrait et plus ça allait moins elle mettait la tête hors de l’eau. Elle ne s’en sortait pas, quoi qu’elle fasse elle repensait à cette journée maudite. Encore aujourd’hui il n’y avait pas une nuit où elle ne se réveillait pas en sursaut après avoir revécu une nouvelle fois le meurtre de Sebastian. Parfois même dans son sommeil elle l’appelait, il était même arrivé qu’elle appelle son frère… Mais ça jamais elle ne l’avouerait. Elle le haïssait, parce qu’il était parti, parce qu’elle le tenait pour responsable de la mort de Seb. Elle détestait l’idée qu’il soit dans la même fac qu’elle, qu’il soit revenu. A chaque fois qu’elle le croisait ça la renvoyait directement au jour de la mort de Seb. Elle refusait de le voir, le fuyait comme la peste et aujourd’hui elle se disait qu’elle aurait tout donné pour que se soit Axel qui meurt à la place de Sebastian… Parce que si elle était sur d’une chose c’était que jamais il l’aurait laissé tombé… Elle ne pouvait pas en dire autant de son grand frère…

Bref Lon’ arriva dans le hangar où était organisé l’espèce de rave party, elle était en béquille et avait du mal à se faufiler entre les gens. Heureusement il n’y avait pas encore beaucoup de monde. Elle fini par trouvé Yan son dealer, il l’attendait à côté des canapés tout défoncé. Comme d’habitude Yan l’attrapa par la taille et l’embrassa goulûment, il était déjà arrivé à Lon’ de donner son corps pour obtenir sa cam. De toute façon depuis Seb les fois où elle avait couché avec des mecs c’était juste pour obtenir quelques choses… Ou juste parce qu’elle était trop défoncé pour se rendre compte qu’on était en train de la sauté… Elle était devenu une épave… Après cette embrassade, elle posa entre les mains de Yan l’argent qu’elle lui devait. Un peu déçu il lui tendit la cam qu’elle avait commander, il semblerait que le jeune homme ait espéré qu’elle n’aurait pas les fonds nécessaire pour payer sa cam. Il tenta une approche mais elle le repoussa et lui dit : « Je te dois rien alors tu me baiseras pas aujourd’hui ! » Il lui lança un regard noir et lui répondit : « Va te faire foutre ! » Conversation de drogué en puissance… Elle se laissa tombé sur le canapé défoncé, son sac contre elle. Elle sortie un livre de son sac, sa carte bleu et un billet de 5 dollars qui lui servirait de paille. Elle fit tomber de son sachet un peu de cocaïne, avec sa carte bleu elle fit une ligne. Tête penchée sur son livre, elle s’apprêtait à sniffer son rail de coke quand elle sentit une main sur son épaule. Elle leva les yeux et vit son frère. Immédiatement son regard se noircie, et elle lui dit : « Tu vois pas que je suis occupés ! Dégages Axel ! » Elle dégagea son épaule de la main de son frère, elle ne voulait pas qu’il la touche, elle voulait juste qu’il disparaisse. C’était quoi son problème ? Il pensait pouvoir revenir après 5 ans de silence et être accueillit à bras ouvert ? Il se trompait lourdement, et pour London le voir lui faisait plus de mal que de bien…
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MessageSujet: Re: Axel | Now you're just somebody that I used to know !   Axel | Now you're just somebody that I used to know ! Icon_minitimeJeu 31 Mai - 23:09



london and axel



« J'ai essayé de l'appeler aujourd'hui mais elle n'a pas répondu.
- Parce qu'elle n'a pas envie de te parler et je la comprends ! »

Axel soupira. Appuyé contre le bar de la cuisine américaine, il regardait sa mère au look négligé, l'air dépassé par les évènements. Elle avait cet air stupide, médiocre, inutile.. Cet éclair non d'intelligence mais de bêtise qu'Axel voyait dans tous les regards. Pourquoi les gens étaient si... limités ? Sa mère se pensait-elle vraiment en position de force avec lui ? Non, elle ne l'était pas. Elle lui avait donné la vie, mais pourquoi s'obstinait-elle à vouloir avec une quelconque autorité ? Axel soupira. Il aurait très bien pu lui démonter le moral, mettre en évidence sa responsabilité dans l'échec de sa fille cadette, dans l'échec de sa vie tout cours, il aurait pu percer à jour tous ses démons et les étaler sur la place publique afin de la démoraliser complètement jusqu'à ce qu'elle se sente si minable qu'elle coopérerait, mais non. Mieux valait ne pas faire interner toute la famille en psychiatrie, ça coûtait cher et ce n'était pas très dynamisant dans une vie. Voilà pourquoi, Axel se contint et se contenta de soupirer en ajoutant :

« Écoute maman, je sais que tu es très occupé à me faire payer mon absence, à m'en vouloir et que ça te coûte énormément mais je ne veux pas un brunch familiale comme autrefois, simplement savoir où elle est ?
- Arrête avec tes grandes phrases qui se veulent philosophiques et pleines d'esprit ! Lâche là, elle a besoin de temps, on en a tous besoin ! »

Axel serra les dents. Ok, si elle continuait il allait vraiment craquer ! C'était usant à force. Axel avait toujours envie de dire des choses, de faire des remarques. Le pire c'était quand un abruti de bas étage faisait une faute d'anglais, il avait tellement envie de le reprendre, à chaque fois. Tous ces gens, toutes ces fautes, tous ces tics, tous ces indices qui montraient si clairement leur infériorité et leur bêtise. Une personne lambda ne remarquerait rien de tout ça, Axel lui, voyait tout. Et c'était exaspérant, fatiguant. Comme là, il avait envie de lui dire "maman si t'as pas envie qu'on te plaigne, fait toi une coupe de cheveux mieux que ça, enlève moi ce jogging de clocharde, et va te faire un blanchiment des dents, car là, tout ce que tu fais c'est dire à tout le monde que tu n'es qu'une mère au foyer dépassé par la dépression de sa fille !" Mais encore une fois, il garda le silence, resta calme, reprit :

« Je ne vais pas me mettre à genou, si tu ne me dis pas où elle est le le découvrirait, je mettrais peut-être plus de temps, mais je finirais par savoir. Ceci est juste pour information.
- Et pour quoi faire ? T'occuper d'elle, merci Axel mais on a très bien vu comment tu nous as soutenu ces cinq dernières années.
- Oh et toi on devrait te décerner le prix de la meilleure mère. Ton aîné a fui la ville et ta plus jeune à tenter de se suicider. Bravo ! »

Et comme pour illustrer ses propos, Axel se mit à applaudir, ce qui finit d'achever Maman Wilson ! Et là, ce fut très rapide. Mrs Wilson déclara que sa fille était en réalité à l'hôpital pour son entretient psychologique et qu'elle ne savait pas ce qu'elle faisait le soir même. Parfait. Axel se contenta de hocher la tête pour signifier qu'il avait compris et se déplaça tout naturellement vers la sortie jusqu'à ce que sa mère l'interpelle :

« Tu pourrais dire merci !
- C'est vrai, je pourrais ! »

Et Axel sortit de sa maison d'enfance. Tout lui semblait étranger maintenant. Cela ne faisait que trois semaines qu'il avait remis les pieds ici mais tout était si loin. Ses souvenirs dans cette ville semblaient être ceux d'un autre. De toute façon, c'était un peu le cas. Il avait tant changé en cinq ans, rien à voir avec l'intello ringard et le loseur de base du lycée, désormais un jeune homme accompli au futur prometteur, avec la langue bien pendue et à la politesse douteuse. Il avait changé du tout au tout et pas la peine d'être Freud ou Einstein pour comprendre le pourquoi du comment. La mort de Sebastian l'avait complètement retourné, démoli. Il avait dû se reconstruire, devenir plus fort et pour ce faire il devait changer de vie. Hop, l'Axel-pucelle du lycée (oui, surnom qui l'avait légèrement traumatisé) était mort, enterré en même temps que son meilleur ami. Un nouvel homme avait vu le jour, malheureusement pas au goût de tous. Mais Axel n'avait que faire de l'avis des gens.

Garé devant l'hôpital, tout au fond du parking de préférence, Axel fixait la porte d'entrée. Il n'avait pas du tout envie de se faire repérer par sa petite sœur, mais ce n'était pas une mince affaire étant donné qu'il ne conduisait pas d'autre voiture que la Chevrolet Bel Air de 57 qui était précisément la voiture de Sebastian, qu'il lui avait légué. Pour la discrétion on repassera. Mais Axel avait bon espoir d'arriver à ses fins. Il n'était pas bête, voire pas du tout en fait, et de toute manière sa petite sœur était trop défoncée pour avoir un quelconque esprit d'analyse. Bref, tout en regardant la porte du hall de l'hôpital, Axel regardait ses mails, répondaient à quelques-uns, voguait sur le site du Times pour avoir les nouvelles dans le monde en direct. Un vrai homme d'affaire. Et soudain, tiens la silhouette gracile et fatiguée de sa jeune sœur. Axel fit une grimace de dégoût. Elle faisait tellement pitié. Il avait peine à reconnaitre sa petite sœur sous ce visage marqué par ces cinq années de drogues et de dépressions à répétition. C'était... dégradant. Axel avait bien honte de ce qu'était devenu sa sœur, mais au fond de lui, bien au fond et bien caché... Peut-être qu'il avait un peu de peine. Un peu seulement, parce qu'il ne faut pas abuser. D'accord, il avait beaucoup de peine, il s'inquiétait comme pas permis. En fait, London était la seule personne à qui il tenait. Il n'avait jamais eu beaucoup d'amis durant son adolescence et puis, ces cinq dernières années, il n'avait eu que de vagues connaissances, plus au moins profondes mais de simples connaissances quand même. London était désormais la seule personne qui lui restait sur cette planète. Et la voir dans cet état était un déchirement à chaque fois.
Voilà pourquoi Axel n'avait rien de mieux à faire que de la filer en voiture. Il avait quelques notions de filature étant donné qu'il avait été détective il fut un temps, il y a un ou deux ans pour être plus précis. Il réussit à ne pas se faire voir, du moins pour l'instant. Cela dura pas mal de temps. Rentrée de l'hôpital, elle fila à son travail dans ce café. Axel la regarda à travers la vitre de ce café. Ca faisait légèrement psychopathe, voilà pourquoi il décida de sortir de sa voiture il se dirigea droit vers ce café. Allez, il allait lui parler. Qu'elle soit en plein service ou non. Cependant, il se stoppa en plein milieu de la route. Elle le détestait tellement, mais tellement. Soudain débordé par ses émotions il ne pouvait pas faire un pas en avant. Jusqu'à ce qu'une voiture ne freine brusquement devant lui. Il fit un signe de politesse au conducteur pour s'excuser et puis... recula jusqu'à sa voiture. Il s'y installa et lu son manuelle d'anatomie qu'il avait à savoir pour la rentrée. Il savait déjà presque tout mais bon, se rafraichir un peu la mémoire ne pouvait pas lui faire de mal.
Le temps passa plus vite que prévu. Une fois qu'Axel était dans la médecine de toute façon, il ne pouvait plus en ressortir. Il fut même surpris de voir Lon' sortir si tôt. Mais réactif, il la fila encore, s'attendant au moins à ce qu'elle retourne chez elle... Et bien non ! En réalité, il arriva dans un coin de Laramie qu'il avait oublié. Ou plutôt qu'il n'avait jamais fréquenté. Ce squatte, il le connaissait de réputation et autant vous dire que ce n'était pas des rumeurs charmantes qui circulaient. Garé à quelques mètres dudit endroit, Axel fronça les sourcils en regardant sa jeune sœur pénétrer à l'intérieur de ce hangar mal famé. Il soupira. Ce type de coin était des repères pour malfrats et paumés, que des gens style inférieurs qui avaient loupé leur vie. Au carrefour "vie cool" et "vie ratée" ils avaient pris le mauvais virage et hop, les voici embringués dans une vie de tourments et de déceptions. Pourquoi London avait fini par rejoindre le gang losers ? Elle qui avait tout pour elle... Axel resta quelques minutes planté dans sa voiture à se demander quoi faire. Appelez la police en anonyme pour les dénoncer ? Trop lâche. Poser une bombe ? Embêtant... « C'est pas vrai ! » Se plaignit Axel à voix haute tout en sortant de la voiture. Qu'en était-il réduit à faire ? Traiter avec des gens craignos tout ça pour une fille craignos qui de toute façon le détestait. Idiot, idiot et ah oui ! IDIOT ! Mais voilà, les liens du sang et toute cette merde. D'ailleurs liens du sang, MOUAIS ! Aucune donnée scientifique ne prouvait qu'avoir des gènes communs avec une autre personne vous forçait à l'aimer. Question d'éducation, rien de plus. Mais ne nous aventurons pas sur ce terrain-là.

Axel pénétra le hangar, évitant un maximum de toucher qui que ce soit. Il regardait tout le monde avec un mélange de dégoût et de peur. Il se faufilait entre les gens, s'essuyant les mains sur sa veste de cuir dès qu'il frôlait quelqu'un. Tous ces gens, toutes ces drogues. Une odeur nauséabonde lui bouchait le nez. C'était répugnant... Voyant un homme, assit dans un coin, les yeux rouges, pupilles dilatés et tout le tintouin, passer sa seringue qu'il venait d'utiliser à son copain à côté, Axel ne put résister et se précipita pour la prendre. « Non ! Vous pouvez attraper l'hépatite et... le SIDA ! » Les deux mecs regardèrent Axel qui tenait la seringue du bout des doigts. Au bout d'un moment, étant donné qu'on le regardait avec insistance et d'un air de plus en plus menaçant, Axel dut bien se résoudre à rendre cette maudite seringue. Qu'ils se tuent, il s'en fichait finalement. Il se retourna percuta un mec et recula rapidement de trois pas histoire de maintenir une distance de sécurité. Il lui demanda où était London, le type le regarda avant de passer son chemin. N'y avait-il personne de... NORMAL ici ? Quand soudain, assise dans un coin, London. Axel l'observa, de loin, interdit. Comment avait-elle tombé aussi bas? Putain ! PUTAIN ! La voyant sur le point de sniffer ce qui ressemblait à de la cocaïne, Axel n'hésita plus, il bondit vers elle, l'arrête d'une main.

« Tu vois pas que je suis occupés ! Dégages Axel ! » Déclara la petite brune au visage meurtri. Elle leva ensuite des yeux haineux vers son frère qui refoula au fond de lui tout sentiment. Ce n'était jamais facile quand quelqu'un vous offre un regard si.. Dur, surtout quand cette personne est précisément votre sœur. Axel inspira, expira. Et puis, il s'accroupit à ses côtés, histoire d'être à sa hauteur. Il avait appris quelque part qu'un enfant vous écoutait toujours mieux quand vous le regardez dans les yeux. Et étant donné que London n'était autre qu'une gamine, Axel essaya d'appliquer ce principe. Bon, maintenant il fallait trouver une excuse. Il ne pouvait pas être ici pour la surveiller, pour lui parler. C'était avouer qu'elle lui manquait et jamais Ô grand jamais Axel ne ferait ça. Il n'avait même pas voulu lui dire qu'il était revenu ici pour elle, alors c'est vous dire. Bon, excuse, excuse vite ! Evidemment, le cerveau d'Axel réfléchit à toute allure et il trouva rapidement de quoi répondre. Après avoir passé une main dans ses cheveux qui méritaient sans doute une recoupe, il déclara de manière très naturelle : « Oh si, je vois très bien, tu as l'air d'être follement occupée par tes activités de petites dépressives droguée, mais vois-tu je cherche de quoi me fournir également, il faut croire qu'on a plus en commun que tu ne le penses, je voudrais seulement que tu me dises où est ton fournisseur, ta dope à l'air d'être extra ! » Bluff, bluff, bluff ! Bon il arrivait à Axel de fumer des joints, comme tout à chacun, mais rien de plus. Autrefois, il lui était arrivé de testé toutes les drogues disponibles. Simplement pour l'expérience. Une fois cela fait, ça ne l'intéressait pas de recommencer, pour finir comme ces imbéciles de Requiem for a dream ? Très peu pour lui ! Et s'il voulait voir son fournisseur, c'était très simple : tu vends encore quoi que ce soit à ma sœur et je te tue. Et si monsieur n'était pas assez clean pour comprendre ça, Axel commencerait déjà par l'emmener voir la police, ça ne lui fera pas de mal.


Dernière édition par Axel Wilson le Sam 2 Juin - 11:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Axel | Now you're just somebody that I used to know !   Axel | Now you're just somebody that I used to know ! Icon_minitimeVen 1 Juin - 9:54

Lon’ avait été une jeune fille pleine de vie, toujours souriante un peu fofolle sur les bords. Elle était bien dans sa peau et ça se voyait, elle avait beaucoup d’amis et aimait sortir. Mais c’était avant, avant que Sebastian ne meure et que son frère s’en aille. Elle avait passé une année entourée des deux hommes, à sortir avec eux, à rire avec eux, à aimer la vie avec eux. Et il y avait eu ce fameux Week end et le drame qui y était arrivé. Elle s’était retrouvée toute seule, et elle avait sombrée… Perdre Sebastian, c’était le drame de sa vie. Elle s’était vue finir sa vie avec lui, elle l’avait aimé plus que de raison… Et finalement elle l’aimait toujours. Et pour l’enfoncer un peu plus Axel était parti en quelques mois elle avait perdu les deux personnes les plus importantes de sa vie. Et après ça elle n’avait jamais sortie la tête de l’eau, elle avait cesser de parler à ses amis, c’était isolée, elle avait cherché un moyen de faire cesser la douleur dans sa poitrine donc elle s’était mis à fumer des joints, au début ça avait marché puis à force d’en fumer ça ne lui faisait plus vraiment d’effet enfin plus l’effet qu’elle recherchait, alors elle était passé à plus fort, cocaïne, LSD, Exta tout y était passé. La seule chose qu’elle n’avait jamais essayé c’était l’héroïne mais c’est parce qu’elle avait peur des piqûres. En 5 années de temps elle était devenu une épave, juste l’ombre d’elle-même en faite. Elle n’avait plus envie de vivre, elle voulait que la douleur cesse pour de bon pas pour un moment, pour toujours et la seule façon qu’elle voyait s’était de trouver la mort. C’était fatiguant de vivre quand on en avait plus envie, de souffrir de façon constante… D’avoir cette douleur dans la poitrine comme ci quelqu’un vous piétinait le cœur… Elle aurait pu s’en sortir si on l’avait tiré vers le haut, on peut pas dire que ses parents avait essayé ils avaient juste laissé faire, son frère n’en parlons pas il était juste parti la laissant seule ! Et ça elle ne lui pardonnerais jamais, elle avait toujours été là pour lui, à chaque fois elle avait pris sa défense, elle pensait qu’ils étaient plus proche que ça, que jamais il ne la laisserait tomber. Mais elle s’était lourdement trompée…

En parlant de son frère celui venait de faire son grand retour, elle ne savait pas vraiment ce qu’il venait faire là. Ni pourquoi il était revenu mais une chose était sur c’est qu’elle ne voulait pas le voir. Elle le détestait autant qu’elle avait pu l’aimer à un moment. Et il semblait prendre un malin plaisir à la torturer. Comme aujourd’hui, elle se demandait ce qu’il foutait dans ce squatte, il la suivait maintenant ? Qu’est ce qu’il ne comprenait pas dans le je veux pas te voir qu’elle lui avait dit la dernière fois ? Intelligent comme il était, il aurait dû comprendre tout seul qu’il serait bien qu’il la laisse tranquille. Il était pourtant bel et bien là, et elle lui lança un regard noir. Il était facile de lire dans les yeux de la jeune femme la haine qu’elle portait à son grand frère. Qu’est ce qu’il croyait, qu’il lui suffirait de revenir et qu’elle lui sauterait dans les bras et que tout redeviendrait comme avant. Cette époque là était fini, la London qu’il avait connu était morte avec Sebastian, enfin une partie d’elle-même… La meilleure partie… Axel était accroupi à côté d’elle, et il lui dit : « Oh si, je vois très bien, tu as l'air d'être follement occupée par tes activités de petites dépressives droguée, mais vois-tu je cherche de quoi me fournir également, il faut croire qu'on a plus en commun que tu ne le penses, je voudrais seulement que tu me dises où est ton fournisseur, ta dope à l'air d'être extra ! » Son frère ne pouvait pas imaginer le mal qu’il lui faisait à lui parler, là comme ci il n’en avait rien à foutre d’elle, lui mettre sous le nez que lui avait réussit à s’en sortir. Elle en avait rien à foutre qu’ils aient des points en commun ou non. Elle voulait juste qu’il dégage, qu’il s’en aille loin, le plus loin possible d’elle. Le voir lui faisait finalement plus de mal que de bien… Elle asséna alors son frère d’un nouveau regard noir et lui répondit sur un ton sec qu’il ne connaissait pas : « Intelligent comme tu es, tu devrais trouver tout seul ! » Maintenant il était temps pour elle de partir, le voir lui faisait trop mal. Elle ressortie son sachet où il y avait le reste de sa dope et remit celle qu’elle avait aligné sur son livre dans le petit sachet. C’était bien trop cher pour qu’elle la gâche. Elle allait rentré chez ses parents, prendre un rail et elle dormirait. Une fois fait elle fourra tout dans son sac, attrapant ses béquilles elle se releva, passant son sac autour d’elle en bandoulière. Elle ne supportait pas le regard que son frère portait sur elle, elle n’avait pas envie de rester plus longtemps en sa présence. C’était trop difficile, chaque fois qu’elle le regardait ça la renvoyait directement à cette journée où Sebastian avait trouvé la mort et ça la démolissait. « Salut ! » Dit elle sur un ton toujours aussi sec, elle espérait qu’il comprenne qu’elle n’avait aucune envie de le voir et qu’il serait bien qu’il la laisse tranquille. Elle parti donc en direction de la sortie, se faufilant entre les gens qui dansaient. Elle mit 5 bonnes minutes à sortir de ce putain de hangar. Il fallait qu’elle trouve maintenant un taxi, chose qui n’allait pas être facile. Il y avait peu de Taxi qui passait par ici, elle allait sans doute attendre un moment avant d’en avoir. Elle regardait autour d’elle et elle reconnu la Chevrolet Bel Air de Sebastian, celle qu’il avait léguer à Axel. Elle se figea sur place, c’était toujours horrible quand elle tombait sur un objet qui avait appartenu à Seb’ et auquel il tenait. Elle s’était séparée de tout ce qui avait appartenu à Seb, toutes les photos elle avait tout mis dans des cartons dans le garage de chez ses parents. Au début elle avait voulu tout laisser en place, mais chaque fois qu’elle voyait un objet qui avait appartenu à Sebastian, elle manquait d’air, c’était trop difficile de supporter un trop plein de souvenir qui concernait Seb. Et les objets lui rappelaient trop de chose, comme cette voiture, ça la renvoyait directement à tout les moments qu’elle avait passé avec Seb dans cette voiture. Elle était tellement figée qu’un taxi passa et elle ne le remarqua même pas. Les larmes lui étaient montées aux yeux, et elle s’était approchée de la Chevrolet. Posant une main sur la carrosserie, elle en avait passé du temps dans cette voiture. Avec Sebastian, avec Axel, les fous rires qu’ils avaient eu ensemble. Tellement de souvenir qui la blessait, qui lui rappelait que son bonheur c’était arrêter le jour où Seb’ était mort. Elle avait arrêté de vivre ce jour là, celle c’était contenter de survivre, de rester en vie. Les larmes lui coulaient sur les joues, elle se laissa glissé le long du mur derrière elle sans lâché des yeux la fameuse voiture. Et voilà elle maudissait son frère de lui faire subir ça, d’être revenu, de lui mettre la voiture de Seb sous le nez, de venir lui parler, d’être là tout simplement. London ne bougeait plus, elle avait la tête appuyée sur son genou qu’elle avait relevé contre elle. Les larmes coulaient sur ses joues, alors qu’elle pleurait en silence ses yeux ne décollant pas de la Chevrolet…
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MessageSujet: Re: Axel | Now you're just somebody that I used to know !   Axel | Now you're just somebody that I used to know ! Icon_minitimeDim 3 Juin - 13:42



london and axel



« Intelligent comme tu es, tu devrais trouver tout seul ! » Oh, il n'en doutait pas une seconde, en faisant un petit effort il arriverait sans doute à trouver qui était le dealer de sa jeune soeur et lui péterait les dents, cependant, chercher parmi cette foule de défoncés à l'acide complètement dégoutants et misérables.. Très peu pour Axel. Il n'avait pas envie de se salir, de se faire vomir dessus ou pire de supporter les propos délirants d'une bande de dingues. Pourquoi ne pouvait-elle pas tout simplement coopérer au lieu de faire sa rebelle ? Que voulez-vous, la haine est un sentiment destructeur. London ne pouvait sans doute pas s'en empêcher, pas s'empêcher d'être une petite droguée de bas étage qui faisait pitié. Elle ne pouvait pas s'empêcher de repousser toutes les mains que les gens lui avaient tendus pour s'en sortir. Elle ne pouvait pas s'empêcher d'être une gamine égocentrique auto-destructrice. Tout comme Axel ne pouvait pas s'empêcher d'être un con arrogant qui la prenait pour une sous-merde tout ça parce qu'elle n'arrivait pas à gérer sa peine. En même temps, quelle idiote ! Cinq années plus tard,la voici toujours au fond du trou. Hého mam'zelle, il fallait songer à sortir la tête de l'eau un jour. Ou bien se laisser couler. Mais attendre ici sur le fil, entre la vie et la mort que le vent te pousse d'un côté ou de l'autre, indifférente, ça ce n'était pas qu'une solution pour pourrir la vie d'autrui. Notamment celle d'Axel si vous voulez mon avis. Sans elle, où serait-il ? Dans quel état ? Avec qui ? Travaillant pour quoi ? Axel vivait au jour le jour lui, carpe diem et tout ces conneries étaient son crédo ! Et maintenant, il pensait pour deux. Il pensait pour elle avant toute chose. Lui qui l'avait chassé de sa vie pendant tellement de temps, fait abstraction de tout ce qui faisait mal. Le voici à Laramie, encore, entrain de gérer une adolescente -ou plutôt une adulte maintenant- en dépression nerveuse. Foutue vie. Enfin bref, Axel devait stoppé son esprit qui allait trop vite avant de retomber dans des réflexions qu'il n'appréciait pas tellement. Il se reconcentra sur sa jeune soeur. « Oui, je pourrais trouver tout seul. J'avais simplement espérer qu'un petit échange fraternel renforcerait nos liens, tu sais la communication , c'est important et puisque tu ne sembles comprendre que le langue des junky je m'efforce de faire un pas vers toi. MOI VOULOIR DROGUEEE ! » Du foutage de gueule pur et dur, surtout quand on imagine la tête que faisait Axel, un peu à la Golum et son "mon précieeeeux". Mais ça ne semblait pas du goût de tout le monde puisque London rangea dans la hâte ses affaires. Et bien voilà on y arrive. Axel voulait la faire partir d'ici, mission accomplie. Après un nonchalant "salut", petite brunette droguée se dirigea vers la sortie à grand pas. Axel eut un petit rire, comme fière d'être arrivé à ses fins, et la suivit en déclarant fortement, histoire qu'elle entende, d'une fois insupportablement hautaine : « Oh London, déjà ? C'est trop bête, on s'amusait tellement ! » Apprendre à se taire au bon moment c'était une des nombreuses chose qu'Axel devait apprendre, mais ne ferait jamais. Peut-être était surdoué, ce qui signifiait qu'il avait une logique implacable, un excellent esprit d'analyse et une capacité d'assimilation parfaite, mais ça ne voulait certainement pas dire qu'il avait un A dans tous les domaines. Axel était insupportable, un salaud comme on en voit plus. Pas une grosse brute, simplement une brute du langage qui vous donne des envies de prendre un flingue et de le tuer après vous êtes tué. Rien que son air suffisant vous donnait la gerbe !

Quand enfin les deux Wilson furent en dehors du hangar (ce qui n'avait pas été une mince affaire à cause des béquilles de la demoiselle) Axel guetta la réaction de London. Et maintenant ? On se fait une course poursuite taxi/bel air ? Mais London ne répondait déjà plus de rien. Garée devant le hangar il n'y avait que la Bel Air rouge qui l'intéressait. Axel ferma les yeux et soupira, regardant ailleurs. Et merde. Bel air de Sebastian. Au fil du temps, il en avait presque oublié sa provenance. C'était tellement habituel pour lui de conduire cette voiture. Mais c'était sûrement la première fois que London revoyait cette voiture. Cette voiture dans laquelle ils étaient tous partis en week-end, ce terrible jour. Cette voiture qu'ils avaient garé devant ce restaurant routier... Bref ! Axel respira profondément. Et quand il chercha à nouveau des yeux sa soeur elle était accroupie dans un coin entrain de pleurer. Pitié. Axel enfonça les mains dans la poche de sa veste de cuir qu'il portait. Il se posta simplement devant London et s'assit sur le capot de la Bel Air. Patienta un moment. Mais London ne se calmait pas. Bon, il n'avait pas toute la vie là. Voilà pourquoi, au bout de quelques minutes il déclara seulement : « C'est pathétique. Aller, relève toi London, je te raccompagne à la maison. T'es déprimante ! Si ta vie est tellement insipide alors vas-y, mets fin à tes jours. Oups, j'oubliais, déjà fait, sauf que tu n'es même pas capable de réussir à te foutre en l'air. Quand je dis que t'es une ratée ! » D'accord, Axel commençait à s'énerver. Parce que ça le rendait dingue de la voiture comme ça. Il s'avança vers elle, l'attrapa sans ménagement par le bras pour la relever et ainsi la mettre sans une once de délicatesse dans la voiture, direction : chez papa et maman.
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MessageSujet: Re: Axel | Now you're just somebody that I used to know !   Axel | Now you're just somebody that I used to know ! Icon_minitimeMer 6 Juin - 8:58

« Oui, je pourrais trouver tout seul. J'avais simplement espérer qu'un petit échange fraternel renforcerait nos liens, tu sais la communication, c'est important et puisque tu ne sembles comprendre que le langue des junky je m'efforce de faire un pas vers toi. MOI VOULOIR DROGUEEE ! » Lui avait dit son frère avant qu’elle ne décide de quitter le hangar. Il était carrément en train de se foutre d’elle et il imaginait pas à quel point il lui faisait du mal. Il revenait après 5 ans d’absence, elle était au bout du rouleau et il trouvait encore le moyen de se foutre d’elle. Il n’imaginait pas à quel point elle pouvait le détester, pour être parti, pour l’avoir laissé tomber, pour être revenu, pour la torturer à chaque fois qu’il ouvrait la bouche… Il n’imaginait pas comment c’était difficile pour elle de supporter le regard qu’il portait sur elle, à quel point ça avait été difficile de se retrouver sans lui. Il était une des causes de son état, il avait sa part de responsabilité… Il aurait du le savoir qu’elle ne supporterait pas et la mort de Seb et son départ… Quel genre de frère était il pour l’avoir laisser tombé aussi facilement qu’une fringue qu’on a plus envie de mettre, toute les fois où elle avait été là pour lui et quand elle avait eu besoin de lui il était juste parti… Et ça elle ne lui pardonnerais jamais, il avait décidé de la rayer de sa vie il y a 5 ans. Il était inutile de revenir maintenant, c’était trop tard elle ne voulait plus le voir. Il avait fait son choix c’était trop facile de revenir maintenant et de lui pourrir la vie comme il le faisait depuis qu’il était de retour. London avait donc prit la direction de la sortie du hangar agacé par la présence de son frère. Il enchaîna alors assez fort pour qu’elle l’entende. « Oh London, déjà ? C'est trop bête, on s'amusait tellement ! » Définitivement il prenait plaisir à la torturer… Pourquoi ne voulait il pas juste la laisser tranquille plutôt que de venir lui balancer des saloperies à la figure, ou de se foutre ouvertement de sa gueule.

Bref London était sortie du hangar, et elle s’était retrouvée face à la voiture de Sébastian. L’effet sur elle avait été sans appel elle avait fondu en larme. Chaque fois qu’elle voyait un objet qui avait appartenu à Seb’ ou une photo d’eux elle fondait en larme. Son deuil elle ne l’avait pas fait, elle n’avait pas réussit… Elle s’était du jour au lendemain retrouvé toute seule, sans ses deux piliers et elle avait sombrés… Axel ne pouvait pas imaginé à quel point elle avait souffert, et à quel point elle souffrait encore. Ses parents lui avaient souvent dit qu’il était temps qu’elle oublie… Mais comment voulez vous oublier que la personne que vous aimez est morte dans vos bras et que votre frère vous a juste laissé tomber… Comment oublié un jour que vous revivez toutes les nuits depuis 5 ans. Elle n’avait pas passé une nuit sans faire de cauchemar depuis la mort de Sébastian… Bref elle était donc assise contre le mur en face de la Bel air, les larmes coulants sur ses joues et ses yeux ne clignaient pas alors qu’elle fixait la voiture. Elle espérait que son frère s’en aille, qu’il la laisse enfin tranquille… Mais Axel ne l’entendait pas de cette oreille, il reprit la parole : « C'est pathétique. Aller, relève toi London, je te raccompagne à la maison. T'es déprimante ! Si ta vie est tellement insipide alors vas-y, mets fin à tes jours. Oups, j'oubliais, déjà fait, sauf que tu n'es même pas capable de réussir à te foutre en l'air. Quand je dis que t'es une ratée ! » Et là c’était comme ci il lui piétinait le cœur, il avait décidé en revenant de lui faire le plus de mal possible ? Non parce qu’il continu comme ça il était bien partie pour. S’il pensait l’aider, il s’y prenait vraiment très mal. Chaque fois qu’il lui disait quelques choses ça la démolissait un peu plus… Il n’imaginait pas à quel point elle regrettait de s’être louper, il n’imaginait pas à quel point elle avait envie de mourir… Mourir pour ne plus souffrir, faire cesser la douleur constante dans sa poitrine depuis 5 ans… Lui était lâchement parti, il n’avait pas vu la détresse dans laquelle elle s’était retrouvé, il n’était pas là quand elle avait refusé de sortir de sa chambre pendant des semaines. Qu’elle n’avait plus parlée pendant des semaines entières… Il avait continué de vivre et était devenu un connard fini, elle s’était contentée de survivre comme elle pouvait… Bref il s’approcha alors d’elle et la releva sans ménagement lui faisait au passage mal et à la jambe. Elle s’exclama alors : « Tu me fais mal !! » Il la mit alors sans aucune délicatesse dans la voiture, elle ne voulait pas entré dans cette voiture ! Elle tenta de résister mais on peu pas dire qu’elle ait beaucoup de force. Il grimpa dans la voiture et pris la direction de chez leur parent. Non non non et non elle ne voulait pas rentrée, elle voulait qu’on la laisse tranquille enfin elle voulait surtout qu’AXEL la laisse tranquille. Elle dit alors sur un ton sec à moitié sanglotante : « Arrête toi !!! Laisse moi descendre !! Je n’ai pas envie de rentrée !! Fou moi la paix une bonne fois pour toute !! » Elle essaya d’ouvrir la porte mais en vint ! Elle pleurait toujours, être dans cette voiture c’était encore pire ! Elle avait encore l’impression de sentir l’odeur de Seb’ et c’était insupportable. Elle avait l’impression de plus pouvoir respirer, elle suffoquait dans cet engin de malheur. Comment pouvait il lui faire subir ça !! Elle voulait être seule, se défoncer et s’endormir jusqu’à se réveiller en sursaut par ses cauchemars. Mais au moins quand elle dormait elle ne souffrait plus…

Ils arrivèrent finalement devant la maison familiale, et sans attendre elle descendit de cette maudite voiture. Elle n’avait pas envie de rentrer et elle ne rentrerait pas. La voiture de ses parents n’était pas là, ils devaient être sortis… Et voilà c’était comme ça depuis 5 ans, il n’imaginait pas comment c’était difficile de se rendre compte que ses parents s’en foutent un peu de comment vous allez, il ne savait pas comment elle s’était retrouvée toute seule sans lui et Seb. Comment ça l’avait démoli ! Il avait sa part de responsabilité dans ce qu’elle était devenue… Une fois sortie de la voiture elle le regarda dans les yeux, on pouvait lire la haine qu’elle avait pour lui dans son regard. Elle fit le tour de la voiture en boitant puis elle poussa son frère du mieux qu’elle pouvait et elle lui dit : « Casse toi ! Je ne veux plus jamais te voir !! Tu aurais jamais du revenir !! Tu me dégoûtes ! » Elle frappait de ses petits points sur le torse de son frère, si elle avait pu elle lui aurait arraché la tête. Elle voulait lui faire mal autant qu’il avait pu lui en faire. Qu’il sache ce que ça faisait !! Elle s’énervait toute seule alors qu’elle enchaînait : « Barre toi je te dis !! Pourquoi tu restes là !! Prend cette putain de maudite bagnole et dégage !!! » Voilà qu’il prenne sa voiture et qu’il se barre ! Elle recula de quelques pas fatigué… Elle dit finalement d’un ton lasse mais dur : « Je te déteste ! J’aurais préféré que se sois toi plutôt que lui… » Sous entendu j’aurais préféré que tu meurs à la place de Sebastian. D’une certaine façon c’était vrai, parce qu’elle savait que Seb’ ne l’aurait lui jamais laissé tombée… Mais d’un autre côté elle aurait été tellement démolie s’il était arrivé quelques choses à son frère… Mais aux jours d’aujourd’hui, elle aurait préféré que Seb soit en vie plutôt que son frère. Il ne pouvait pas imaginer la haine qu’elle lui portait !!
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MessageSujet: Re: Axel | Now you're just somebody that I used to know !   Axel | Now you're just somebody that I used to know ! Icon_minitimeSam 16 Juin - 11:32



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Axel avait une vision bien à lui sur le suicide. Pour lui, c'était l'acte le plus misérable, le plus détestable, le plus méprisable qu'il soit. Se suicider ? N'importe quoi ! C'était comme dire au monde entier "je suis un raté de service". En tout cas, il s'aimait trop pour se suicider lui, il tenait trop à sa vie, à lui-même. C'était égocentrique de dire cela ? Tant mieux, c'était ainsi ! Axel ne supportait pas le fait que sa jeune soeur ait tenté de se suicider. Pourquoi ? Elle souffrait, certes, des milliers de gens souffraient. Les parents de Sebastian, elle y avait pensé ? Eux souffraient également, Axel n'avait jamais eut connaissance qu'ils avaient tenté de se suicider. Des tas de gens avaient eut mal quand Seb était mort, c'était un type très apprécié. Elle croyait quoi ? Être la seule à aller mal ? La seule pour qui s'était douloureux ? Non. Si Axel était un égoïste, London était pire. Se suicider ? Se droguer ? Devenir une loque ? Bravo gamine, ça c'est sympa. Axel avait peut-être déserté la ville, mais elle aussi d'une certaine manière en ne devenant qu'un paquet d'os et de chair vidé, sans âme, sans rien. Qui avait fait le plus de mal aux parents Wilson ? Hein ? Ca c'était la question à un million de dollars. Alors si Axel était dur avec elle aujourd'hui, c'était parce qu'il détestait plus que tout ce qu'elle était devenue. Elle, sa petite soeur si forte et si joyeuse, une vraie loque qui ne cherchait même plus à s'en sortir. Il était brusque avec elle, ne cherchait pas à la ménager. Dans les paroles et dans les actes, car il l'agrippa fermement pour la mettre dans la voiture, elle ne manqua pas de s'en plaindre : « Tu me fais mal !! » Ok, très bien, au pire : on s'en fou; Elle n'allait pas en crever. Si une chute d'un étage ne la tuait pas, ce n'était pas ça qui le ferait. Et dès qu'elle fut dans cette voiture, Axel ferma la porte, la verrouillant au passage et monta à son tour. Cela semblait insupportable pour elle d'être dans cette voiture. CETTE voiture en particulier, celle de Sebastian. Axel ne voyait pas le problème, et une fois au volant il tenta d'ignorer complètement sa soeur qui pourtant se débattait violemment : « Arrête toi !!! Laisse moi descendre !! Je n’ai pas envie de rentrée !! Fou moi la paix une bonne fois pour toute !! » Ne pas l'écouter, ne pas la regarder. Axel démarra sa chère, si chère voiture, avec comme d'habitude son coup d'oeil rituel sur la photo de Sebastian, lui et London qui était accrochée au rétroviseur. Cependant les supplications de London se faisait de plus en plus insistante. Axel inspira un bon coup, expira et enfin : explosa : « CE N'EST QU'UNE SALETÉ DE VOITURE LONDON ! » De quoi la faire taire dix secondes au moins, le temps pour lui de reprendre un peu son calme et d'ajouter tout de même encore légèrement sur les nerfs : « Ce n'est pas lui ! C'est de la taule, du cuir, de la ferrailles. Alors maintenant arrête ton cirque tu seras mignonne, je te ramène à la maison car de toute façon tu n'es pas en état ni de conduire, ni de marcher et il est préférable que tu ne dépenses pas ton argent dans un taxi, alors veux-tu s'il te plait arrêter de geindre tu me donnes un mal de crâne horrible. »

Ce fut dans un silence un peu plus respecté qu'ils arrivèrent devant la pavillon Wilson. Une honnête maison pas très grande, pas petite, simple. Mais cette maison, depuis qu'il était rentré, Axel la trouvait tellement... minuscule, moche, pourrie. Il avait vu des choses tellement géniale pendant cinq ans, dormit dans les meilleurs chambres d'hôtel, loué des appartements immenses. Il avait bien gagné sa vie pendant cinq ans, non pas grâce aux petits boulots minables qu'il avait enchaîné mais surtout à grâce au black jack et au poker, c'était un très bon joueur (facile quand on arrive à compter les cartes et qu'on bluff mieux que le champion du monde de poker) il avait un paquet de fric et cette maison, ce pavillon, ça semblait tellement dérisoire maintenant. Bref, garée là, London sortit immédiatement, furieuse. Axel en fit de même. Et rapidement il vit sa soeur se jeter sur lui en boitant, il n'eut même pas un mouvement de recul : elle n'était pas très impressionnante. Elle le poussa apparemment de toutes ses forces, ça fit seulement reculer Axel d'un pas, il la regarda, dédaigneux. « Casse toi ! Je ne veux plus jamais te voir !! Tu aurais jamais du revenir !! Tu me dégoûtes ! » Et elle commença à frapper sur le torse d'Axel avec ses petits poings inoffensifs. Axel restait stoïque, un sourcil de arqué. « Barre toi je te dis !! Pourquoi tu restes là !! Prend cette putain de maudite bagnole et dégage !!! » Soupir lassé de la part de notre jeune surdoué. Il mit les mains dans ses poches et continua à la regarder, l'air de s'ennuyer sec. Elle finit par reculer (avait-elle comprit qu'elle se faisait mal toute seule en tentant de faire mal à son frère ?) et elle sembla soudain fatiguée. Et alors qu'Axel regardait autour de lui en attendant simplement qu'elle se calme, elle prononça la phrase de trop : « Je te déteste ! J’aurais préféré que se sois toi plutôt que lui… » Axel ramena tout de suite son regard sur London, la regarda. Là, ça l'avait atteint, clairement. Ce n'est pas facile d'entendre ce genre de chose mais en plus ça avait le mérite d'être vrai. Il est clair qu'Axel aurait mieux fait de mourir plutôt que Sebastian. Lui était un type génial, parfait, super apprécié alors qu'Axel n'était qu'un petit intello loseur. Sebastian s'était sacrifié pour LUI. Alors certes, tout ceci était injuste, mais à quoi bon chercher une justice dans ce monde, un sens ? Il n'y en avait pas, c'était comme ça, c'est tout. Axel fixait toujours London, cette fois il paraissait un blessé, il déglutit avec difficulté avant de répliqué, haineux. « Moi aussi vois-tu ! MOI AUSSI. Tout aurait été tellement simple. Je serais mort, vous m'auriez pleuré, mais tout ceci vous aurait rapproché, après le lycée vous vous seriez mariés et vous auriez eux deux ou trois mômes. Vous en auriez appelé un Axel histoire de me rendre hommage et tout aurait été génial. » C'était sans doute ça qu'elle se disait, ce scénario qu'elle s'était imaginé mille fois dans sa tête. Scénario qu'elle aurait préféré, dont elle rêvait. Cela énerva Axel, ça lui retournait l'estomac. Il savait pertinemment que c'était ce qu'elle aurait voulu et ça faisait mal. « Mais je suis en vie, je suis en vie parce que Sebastian s'est sacrifié. Pour moi. Et c'est ça que tu n'arrives pas à avaler, que ton prince charmant se soit fait tué pour moi. Mais désolé de te décevoir princesse, il était mon meilleur ami avant d'être ton stupide petit copain. Arrête de faire comme si t'avais vécu la plus belle histoire du siècle, t'avais quinze ans et t'es sortie avec un type wahou comme toutes les lycéennes de cette foutue ville. Maintenant ça fait cinq ans. Cinq longues années, et à quoi ça sert tu peux me le dire ? Arrête de t'accrocher à ça comme si ta vie s'était arrêtée, t'étais qu'une gamine qui ne connaissait rien à rien, on a comprit Sebastian t'as dépucelé maintenant avance parce que ça devient dégradant ! » Oui, Axel pouvait être très violent quand il le voulait, vraiment très violent et faire passer l'histoire de London et Sebastian comme quelque chose de banal, c'était juste pour faire du mal. Rappeler que Sebastian était mort pour LUI, pour Axel qui s'était ensuite barré en la laissant seule, c'était encore pour lui faire du mal. Et aussi lui faire comprendre que merde, sa vie ne s'arrêtait pas là. Elle était amoureuse de Sebastian ? Oui toutes les filles de quinze ans ont été amoureuse et toutes les filles de quinze ans ont crut que c'était leur grand amour. London devait faire son deuil, de Seb, de sa relation avec lui, de toute cette vie qu'elle avait avant. Axel s'adossa soudain contre la voiture et déclara, plus calmement : « Fais pas comme si t'avais été la seule à souffrir dans l'histoire. Il était mon meilleur ami, mon frère, mon modèle.. Mais un de ces jours faut avancer, ça fait cinq ans London, il te manquera toujours et il me manque encore aujourd'hui mais là tu deviens vraiment pitoyable et je trouve sincèrement que c'est une insulte à sa mémoire que de te servir de l'excuse de sa mort pour te défoncer et être une ratée. » Axel avait croisé les bras sur son torse, regardait London, d'un air paternel, responsable, cette fois elle ne pourrait pas fuir il faudrait qu'elle entende.
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MessageSujet: Re: Axel | Now you're just somebody that I used to know !   Axel | Now you're just somebody that I used to know ! Icon_minitimeJeu 28 Juin - 8:57

London était face à son frère et elle venait de lui dire la chose la plus horrible qu’elle pouvait lui dire. Elle lui avait dit qu’elle aurait voulu que se soit lui qui meurt à la place de Seb. C’était à la fois la vérité et un gros mensonge. Elle le pensait parce qu’elle savait que Sebastian ne l’aurait jamais laissé seule, et d’un autre côté malgré la haine qu’elle portait à son frère elle l’aimait et ne souhaitait pas vraiment qu’il meurent… Autant qu’à l’époque s’il était arrivé quelques choses à Axel elle ne s’en serait pas remise… Finalement le fond du problème de sa dépression c’n’est pas seulement la mort de Seb mais surtout le départ d’Axel. Se rendre compte qu’elle comptait si peu pour lui pour qu’il parte comme il l’avait fait sans se retourner. Sans donner aucune nouvelle, sans se soucier de comment elle le vivrait. C’était horrible de vivre avec le manque de son frère, de ne pas savoir s’il était vivant ou mort… Mais la haine qu’elle lui portait avait parlé pour elle, elle soutenait le regard de son frère alors qu’il lui répondait : « Moi aussi vois-tu ! MOI AUSSI. Tout aurait été tellement simple. Je serais mort, vous m'auriez pleuré, mais tout ceci vous aurait rapproché, après le lycée vous vous seriez mariés et vous auriez eux deux ou trois mômes. Vous en auriez appelé un Axel histoire de me rendre hommage et tout aurait été génial. » Il ne comprenait finalement pas grand-chose à la détresse de Landon. Est-ce qu’il pensait vraiment que l’état dans lequel elle était, était seulement dû à la mort de Sébastian ? Que ça lui plaise ou non Avel était responsable, il l’avait abandonné, du jour au lendemain il était parti la laissant seule dans sa détresse… Elle avait eu besoin de lui, pour la première fois elle avait eu besoin de lui et il n’avait pas été là. Et dieu sait que c’était dur à encaisser, vous rendre compte que vous ne comptez pas pour une personne pour qui à contrario vous auriez donné votre vie. Elle lui répondit alors le regardant dans les yeux, son regard noir, triste… Loin du regard plein de vie qu’elle avait avant : « NON !! Il serait simplement resté… C’est tout ce que je demandais… » Voilà c’était dit s’il ne comprenait pas le sous entendu c’est qu’il ne voulait pas comprendre. Il avait agit comme un égoïste, s’il voulait absolument partir, il aurait pu l’emmener, penser à elle, penser qu’elle ne s’en remettrait pas… Comment avait il pu imaginer qu’elle se remettrait de son départ. Il avait été son pilier, elle avait aimé son frère autant qu’elle pouvait le détester aujourd’hui. Il avait été un idiot de penser qu’elle s’en sortirait sans lui… Sans Seb… C’était impossible. Axel enchaîna alors : « Mais je suis en vie, je suis en vie parce que Sebastian s'est sacrifié. Pour moi. Et c'est ça que tu n'arrives pas à avaler, que ton prince charmant se soit fait tué pour moi. Mais désolé de te décevoir princesse, il était mon meilleur ami avant d'être ton stupide petit copain. Arrête de faire comme si t'avais vécu la plus belle histoire du siècle, t'avais quinze ans et t'es sortie avec un type wahou comme toutes les lycéennes de cette foutue ville. Maintenant ça fait cinq ans. Cinq longues années, et à quoi ça sert tu peux me le dire ? Arrête de t'accrocher à ça comme si ta vie s'était arrêtée, t'étais qu'une gamine qui ne connaissait rien à rien, on a comprit Sebastian t'as dépucelé maintenant avance parce que ça devient dégradant ! » S’il cherchait à la blesser c’était réussi dire que son histoire avec Sébastian était juste une amourette était un immonde mensonge qui lui faisait du mal. Non ça n’avait pas été une amourette, elle l’avait aimé plus que de raison et Seb l’avait aimé de la même façon. Entre eux il y avait eu cette alchimie, cette espèce de complicité naturelle. C’était son grand amour, celui avec un grand A. Jamais elle ne pourrait l’oublié c’était impossible et elle savait que jamais elle ne retrouverait quelqu’un avec qui elle était autant en symbiose. Et Axel savait tout ça, il avait vu comment elle était avec Seb, il avait été le mieux placé pour voir comment les deux s’entendaient parfaitement. Seb s’était sacrifié pour sauvé Axel, et celui-ci ne s’était pas dit une seul fois qu’il l’avait fait parce qu’il les aimait tout les deux. Pour Axel parce que c’était son meilleur ami, et pour London parce qu’il savait que sans Axel elle n’était rien… London regarda son frère le regard noir : « Je t’interdis de dire que c’était juste une amourette… Ce n’était pas juste ça ! T’étais là tu sais que c’est faux ! T’es qu’un sale con ! » UN gros con égoïste voilà ce qu’il était ! Il venait lui faire la morale, lui dire qu’elle n’était qu’une épave mais s’était il simplement mis une seule fois à sa place ? Lui était parti loin de tout, alors que elle était resté là et ça n’avait pas été facile, elle avait du supporté les rumeurs qui avait tourné sur ce week, les rumeurs sur les raisons du départ d’Axel, le regard accusateur des parents de Seb… Lui avait échappé à tout ça, elle avait dû subir… Qu’il ne vienne pas lui faire la morale, il avait été le plus gros lâche que la terre est portée alors il n’avait aucune leçon à lui donner… Axel ajouta : « Fais pas comme si t'avais été la seule à souffrir dans l'histoire. Il était mon meilleur ami, mon frère, mon modèle.. Mais un de ces jours faut avancer, ça fait cinq ans London, il te manquera toujours et il me manque encore aujourd'hui mais là tu deviens vraiment pitoyable et je trouve sincèrement que c'est une insulte à sa mémoire que de te servir de l'excuse de sa mort pour te défoncer et être une ratée. » Seb était son modèle ? Et bien il était à des années lumières de ressembler à Seb… Ils parlaient d’insulte à sa mémoire ? Très bien London avait également des choses à dire sur ce point là. Si Axel voulait partir sur cette pente là elle allait le suivre elle planta son regard noir dans celui de son frère et lui répondit : « C’est à moi que tu parles d’insulte à sa mémoire ? T’es devenue tous ce qu’il détestait, arrogant, hautain et un insupportable Mr je sais tout ! Comme tu dis il s’est sacrifié pour toi et tu es devenus le pire des Connards ! Alors me fait pas de leçon, t’étais pas là tu sais pas ce que ça à été ! Alors va te faire foutre ! » London fit demi tour et se dirigea vers le jardin de la maison. Mais elle se stoppa et se retourna vers Axel histoire d’en rajouter une couche. Elle ajouta finalement : « Il aurait honte pour toi et de la lâcheté dont tu as fais preuve ! » Lâche dieu sait que c’était ce qu’Axel avait été, jamais Seb ne lui aurait pardonner son départ… Il n’aurait pas accepter le fait qu’Axel parte et laisse London toute seule…
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