Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 sorry for the smell◗ gabrielle

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Théo Lancaster

Théo Lancaster


MESSAGES : 264
POINTS : 407
DC : dan l. kingston
SITUATION : célibataire
ÂGE PERSONNAGE : 24 ans
CITATION : « Nous avons les souvenirs que nous méritons. »
✰ ✰

cahier de texte
club/sport:
filière/métier: jardinier
your friends:

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeVen 1 Juin - 10:31


GABRIELLE & THEO
sorry for the smell


On vous a déjà dit que boire en plein cagnard c'était dangereux ? Vous ne buviez pas trop, persuadé alors qu'à part un grand sourire et un petit rire facile l'alcool ne viendrait pas vous changer plus que ça. Ahah, faux ! Avec le soleil qui cognait, les effets de l'alcool étaient alors décuplés. Et si vous buviez trop, ça pouvait carrément vous être fatal. Et bien c'est exactement ce qu'il se passait pour Théo. Il avait arrêté son travail en plein milieu pour aller se réfugier dans la forêt, petite fiole rempli de whisky dans la poche de sa tenue de travail. Il la termina rapidement, s'essuya les lèvres du revers de sa main et s'efforça à ne plus penser à Aaron, regagnant la pelouse pour terminer de la tondre. Les premières minutes se passèrent plutôt bien, mais au bout d'une vingtaine de minutes sa tête tournait et il se sentait patraque. Un arrière goût lui remontait dans la gorge alors qu'il avait l'impression de suer. Ses mains se mirent à trembler et lorsqu'il descendit de son engin, ses jambes flageolantes ne le tinrent pas et il s'effondra dans la pelouse. Il cligna des yeux, interloqué par cette chute. Il tenta de se relever en maugréant et dû s'y reprendre à deux fois avant d'y parvenir vraiment. Il prit appuis sur la tondeuse, n'ayant plus le moindre équilibre. Putain, sa tournait sec autour de lui. Sa vision trouble n'aidant pas à la chose. Il regarda sa montre et marmonna : « 26h63... hein ? » Il fronça les sourcils, perplexe face à cette heure qui n'existait pas pourtant, il en était certain. Il haussa les épaules et décida de continuer à travailler comme il pouvait. Il abandonna la tondeuse sur place et tangua jusqu'au hangar qui abritait tous les outils nécessaires à l'entretient de l'université. Il attrapa une pelle et un sécateur sans avoir la moindre idée de ce qu'il pourrait en faire. Il retourna dans le parc et commença à creuser un trou en plein milieu, sans la moindre raison. Enfin, si on pouvait appeler ça un trou... Ayant autant de forces qu'un gamin de trois ans à cause de l'alcool, il ne retirait à chaque fois qu'une mince pelletée de terre qu'il envoyait derrière. Enfin, en principe ! La plupart retombait sur lui à vrai dire. Et ce petit manège dura trois heures, jusqu'à ce que 18h ne sonne à la grande horloge. Il abandonna tout ça derrière lui et partit aux vestiaires pour retrouver sa tenue de civile. « woohh.. ! fais gaffe à où tu marches.. pauv' type ! » S'indigna-t-il en titubant, s'adressant à... un mur. Il fit les gros yeux et poursuivit sa route, parlant un peu tout seul, ruminant des pensées. Bien après, il sortait enfin. T-shirt à l'envers et chaussures à la main (les enfiler c'était avéré trop compliqué pour lui). Il traversa donc le campus pieds nus jusqu'à rejoindre sa voiture. Là il sortit ses clés et appuya dessus pour ouvrir son 4x4. Rien. Il recommença. Toujours rien ! « mais alléééééééééééé putain ! » Fallait dire que les clés de maisons pour ouvrir une voiture... ce n'était pas très pratique. Il leva sa jambe droite dans le but de refiler un coup de pieds dans sa voiture, mais tout ce qu'il parvint à faire c'est basculer en avant, s'éclater la tête contre la portière, tomber à genoux et de se les égratigner avant de basculer en arrière, allongé au sol. « MAIS PUTAAAAAAAAAIN ! » Il bascula sur le côté et tenta de se relever. Il vint s'appuyer contre sa voiture de tout son corps et tenta directement de glisser sa clé -de maison toujours- dans la serrure de la portière. Sourcils froncés, il ne semblait véritablement pas comprendre ce qu'il se passait. « technologies .. de merde .. fais chier.. m'emmerde .. » marmonnait-il, quasiment incompréhensible. Oui, nous pouvons le dire : il était dans un joyeux état...
Revenir en haut Aller en bas
Gabrielle O. Cruz

Gabrielle O. Cruz


MESSAGES : 388
POINTS : 229
DC : Non
SITUATION : Mère célibataire.
ÂGE PERSONNAGE : 20 ans
✰ ✰

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeVen 1 Juin - 15:04

Gaby & Théo « Wake up in the morning feeling like P Diddy. Grab my glasses, I'm out the door, I'm going in this city.
Before I leave, brush my teeth with a bottle of Jack 'Cause when I leave for the night, I ain't coming back. »

18 heure. La cloche sonnait la fin des cours pour aujourd'hui. Oui je prenais quelque cours en avance, il appelais ça le programme de pré rentrer pendant l'été. Enfin. Je rangeais mes affaires dans mon sac sans perdre une minutes. J'avais hâte de retrouver mon chez moi et mon fils qui me manquait. Cela avait beau faire deux ans, je n'étais toujours pas habituer à le quitter. J'avais vraiment du mal à le laisser mais je n'avais pas le choix, je devais aller en cours, je n'avais pas d'autre option et puis je rentrais le soir le plus vite possible pour le retrouver et je me doutais que quand il irait à l'école, cela serai encore une autre étape que nous franchirions avec brio comme toujours. Etre mène n'était pas facile, mais l'être jeune l'était encore moins. Comment prendre soins d'une autre personne alors que nous ne somme même pas encore capable de prendre soin de nous ? Parfois, je maudissais tellement Diego d'avoir été si lâche et de m'avoir abandonné après m'avoir faire de bien belles promesses qu'il savait ne pas tenir et m'avais laisser seule avec notre fils. Je me rappellerais le jour où il m'avait abandonnée. Je ressentais la douleur comme si c'était hier. Je secouais la tête, refermais mon sac qui contenait tout mes affaires et saluais d'un geste mes « amis » avant de quitter la salle ou j'avais eu cours. Je marchais d'un pas vif et assurée vers la sortie de l'université. Je passais par mon casier et déposais de dont je n'avais pas besoin pour travailler. Je saluais tel ou telle personne sur mon passage. Oui, j'étais assez connue, même si je n'avais pas débarquer depuis très longtemps. Je retrouvais enfin l'air libre, je mettais mes lunette sur le bout de mon nez, et me dirigeais vers le parking ou j'avais garer ma super voiture, une porche. Vive l'Empire Cruz ! Je fouillais rapidement dans mon sac pour chercher mes clef de voiture. « Mas onde estão eles ? » ( « Mais ou sont elles ?! » ) Dis-je dans ma langue maternelle en foutant presque ma tête dans mon sac pour chercher ses foutus clefs. Vous avez remarquer que lorsque l'on cherche les clefs, c'est comme si elle faisait exprès de se cacher pour nous pourrir la vie ! « Ahh, muito em breve! » ( « Ahh, pas trop tôt ! » ) M'exclamais-je alors que je l'est trouver enfin. Je secouais la tête et allais jusqu'à ma voiture, mais ...« Mais alléééééééééééé putain ! » Je fronçais les sourcils en entendant cette voix, visiblement pas super contente. Je garde mes clef en main et je cherche d'où vient cette voix. Je fais quelque pas sur le parking et m'arrête, presque choquée alors que je vois un garçon venir donner un coup de pied sur sa voiture. Mais il perdit l'équilibre et tomba en tapant la tête contre sa portière et de s'égratigner les genoux. Oh mon dieu ! Mais a quoi il jouait celui-là ? J'écarquille les yeux et attend de voir si il bouge ou pas, bah oui, j'irais l'aider dans se cas. Il bouge. « MAIS PUTAAAAAAAAAIN ! ». Il essaye encore d'ouvrir sa voiture mais les clefs qu'il utilisent me semble bizarre de là ou je suis ...« Technologies .. de merde .. fais chier.. m'emmerde .. » Okey. Je comprend mieux maintenant. Je prend une grande respiration et avançais vers lui, dans toute ma bonté, et puis c'était hors de question que je le laisse prendre sa voiture alors qu'il était visiblement saoul, et que en plus il c'était cogner la tête. Je secouais la tête et venais l'aider a te tenir debout. Je le regarde, sourcils froncé. D'accord, il sent l'alcool à pleins nez. Je soupire. « Est-ce que ça va ? » Lui demandais-je avec mon petit accent qui d'après quelques personnes, faisait mon charme. Je ne sais même pas comment j'arrive a la soutenir, il n'est pas un poids plume, mais plutôt du genre musclé, grand, et pas mal en faite, si on enlève l'odeur d'alcool qui émane de lui. Il me regarde, le regard lointain. Je n'attend pas qu'il me réponde et l'amène vers ma voiture. Je croirais faire 100 tours de stade tant je peine à le faire avancer, et bien sur, lui il ne fait rien pour m'aider, trop saoul. J'arrive au prix d'un effort presque surhumain à ma porche. Il la regarde avec de grand yeux. « Oui, c'est une Porche. Tu vomis dedans et je te tue. » Je secoue la tête et ouvre ma voiture d'une pression sur un bouton. J'avance encore, direction le coté passagers. J'ouvre la portière et le fais rentrer dedans avec beaucoup de mal, monsieur n'étant pas très coopératif. Mon dieu, et dire que j'allais le ramener chez moi, avec mon fils de 2 ans … « Eu sou louco! » ( « Je suis folle ! ») M'exclamais-je en refermant la portière. Je respire calmement et passe une main dans mes cheveux long cheveux noir. Je souffle et rentre dans ma voiture. Je regardais mon passagers, que je ne connais n'y d'Eve, ni d'Adam. Je me demande pourquoi il s'est mit dans cette état là. Tout le monde sait qu'il ne faut pas boire quand il fait aussi chaud avec un grand soleil !

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Théo Lancaster

Théo Lancaster


MESSAGES : 264
POINTS : 407
DC : dan l. kingston
SITUATION : célibataire
ÂGE PERSONNAGE : 24 ans
CITATION : « Nous avons les souvenirs que nous méritons. »
✰ ✰

cahier de texte
club/sport:
filière/métier: jardinier
your friends:

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeLun 4 Juin - 8:53


GABRIELLE & THEO
sorry for the smell


Alors qu'il allait à nouveau basculer et se vautrer par terre, un bras s'empara de lui et le retint. Surprit, il tituba un peu avant de s'équilibrer et tourna la tête vers la personne, pour le moins surprit de voir une fille qui lui était totalement inconnue. Il haussa un sourcil, ayant toujours du mal à se stabiliser et de toute évidence ce n'était pas chose facile pour la jolie brune de le maintenir debout. « Est-ce que ça va ? » Lui demanda-t-elle, ayant certainement au piètre spectacle qu'il donnait aux yeux de tous. Grognon, il répondit en parlant un peu trop fort et sans franchement articuler : « naaaaaaaan ! ma voiture veut pas s'ouvrir, j'la déteste ! » Il se pencha en avant, main tendue et tenta de la frapper (la voiture hein). Mais il était trop loin et la jeune fille le retenait, il ne parvint donc qu'à brasser l'air comme un excité, maugréant des choses incompréhensibles. Et le voilà qui déjà se retrouvait à faire demi-tour, entrainé par l'inconnue. Il s'écria : « heeey ! où on va ? ma voituuuuuuuuuuure ! » Il gesticulait dans tous les sens pour se libérer de son emprise, lui compliquant encore plus la tâche alors que la pauvre semblait déjà bien peiner à supporter son poids. Il finit par abdiquer, rapidement fatigué par tous ses mouvements. Une moue boudeuse sur le visage, il se laissa mener jusqu'à la voiture de la jeune fille. Il la détailla du regard, pas franchement habitué à voir ce genre de voitures dans le coin. Par ici c'était plutôt 4x4 et pick-up en tout genre ! Bien plus pratique quand on allait se perdre dans les bois pour telle ou telle raison. Son regard n'échappa visiblement pas à la brunette qui expliqua : « Oui, c'est une Porche. Tu vomis dedans et je te tue. » Il se mit alors à rire bêtement, tel un demeuré. Il bascula en avant et eu le réflexe (miracle) de tendre sa main pour venir prendre appui contre la voiture. Il leva ensuite sa main gauche en signe d'honneur et déclara : « je le .. promet ! sur euh .. euh .. » De quoi il parlait déjà ? Il fronça les sourcils et plissa les yeux, perdu dans sa propre phrase. Il haussa finalement les épaules, se disant que ça ne devait pas être si important pour qu'il oublie en cours de route. Elle ouvrit la portière et tenta de le faire rentrer dedans mais monsieur avait décidé de ne pas plier les jambes et ils perdirent bien 7 minutes à le faire rentrer dedans. Une fois installé il laissa sa tête tomber contre la vitre, tel un bébé encore incapable de tenir sa nuque. Il soupira, satisfait d'être enfin assit ! Il l'entendit parler mais ne comprit pas un mot de ce qu'elle racontait et décida de ne pas en tenir compte. Elle prit place à son tour face au volant, démarra la voiture et hop-là, en route simone. Théo avait ouvert la fenêtre et avait passé sa tête à travers celle-ci afin de se passer l'envie de vomir qui se faisait de plus en plus oppressante et aussi pour rester éveillé. Quelques minutes plus tard ils arrivèrent enfin et à nouveau, le faire sortir de la voiture fut toute une épopée ! Il essaye d'abord seul et se ramassa par terre, les mains en avant sur le bitume. Elle l'aida à se relever et ferma sa voiture, le conduisant jusqu'à la porte d'entrée. Il s'appuyait de tout son poids sur elle, ne la ménageant pas un instant. Il continuait à parler tout seul, racontant des choses totalement incompréhensibles. Une fois la porte d'entrée refermée derrière eux, il inspecta les lieux d'un bref coup d’œil et aperçut un petit garçon et une dame avec, dans le salon. Il leva sa main droite et baissa trois doigts, laissant ouvert le pouce et l'auriculaire et agita sa main de droite à gauche en s'écriant : « SALUT LES JEUNES ! » Il repoussa la jeune fille afin de se libérer de son emprise et s'étala de tout son long par terre, face contre sol. Il gémit et, restant immobile contre le carrelage, il marmonna : « ça fait maaaaaaal... »

Revenir en haut Aller en bas
Gabrielle O. Cruz

Gabrielle O. Cruz


MESSAGES : 388
POINTS : 229
DC : Non
SITUATION : Mère célibataire.
ÂGE PERSONNAGE : 20 ans
✰ ✰

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeLun 4 Juin - 23:16

Gaby & Théo « Wake up in the morning feeling like P Diddy. Grab my glasses, I'm out the door, I'm going in this city.
Before I leave, brush my teeth with a bottle of Jack 'Cause when I leave for the night, I ain't coming back. »

Je me disais que quand même, en Amérique, on voyait de drôle de chose. Comme par exemple ce gars, plutôt pas mal, mais qui me faisait clairement pitié a essayer d'ouvrir sa voiture, avec des clefs qui semblait plus à des clefs d'appartement ou maison. Complètement sous l'effet de l'alcool, et avec ce soleil, c'est jamais bon. Je l'observe, à distance, mes lunettes de soleil sur le nez. Après quelques minutes, je m'approche de lui, et l'aide a se remettre debout, le soutenant comme je peux avec mes maigres force. Je vis la surprise dans ses yeux lorsqu'il me vit. Je ne relevais pas et lui demandais si il allait bien. « Naaaaaaaan ! ma voiture veut pas s'ouvrir, j'la déteste ! » J'écarquillais les yeux surprise tant pas ses mots que son ton, prête a éclater de rire devant se spectacle désolant tout en sachant qu'il avait surement du boire pour une bonne raison. Il bougea alors pour tenter de donne un coup avec toute sa rage a sa pauvre voiture, mais il était trop loin, et comme je le retenais, il ne fit que battre l'air comme un dingue en disant des mots que je ne compris pas. Je ne lui répond pas et le tire vers ma voiture, car vu son état, hors de question que je le laisse là. Il pourrait se faire faucher par une voiture, déclencher une bagarre et moi je n'aurais rien fais pour lui éviter ça, surtout qu'il avait l'air vraiment pas en état de savoir se gérer seul. « Heeey ! où on va ? ma voituuuuuuuuuuure ! » S'écria t-il alors que je le tirais vers ma voiture pour l'emmenais chez moi. Ne me demandais pas pourquoi je ne lui demandais pas plutôt ou il habitait pour le raccompagner, je ne sais pas. Je crois que je voulais être sur qu'il aille bien. Il gesticulait, me rendant la tâche encore plus dur.

STOP ! Lui dis-je en m'arrêtant, n'en pouvant plus. Je le regardais, avec les même yeux que je fais à Marco quand il fait quelque chose que je n'aime pas. Je te ramène chez moi, histoire que tu cuve sans danger. Lui dis-je en sachant qu'il ne comprendrait que la moitié de ce que je lui disais. Allez, on y va. Lui dis-je en reprenant la marche pour aller jusqu'à ma voiture, qui n'était pourtant qu'a quelque place de parking.

Il semblait s'être calmer, bien. Je continuais le parcours du combattant jusqu'à ma super voiture. Une fois que nous sommes arrivés devant, je le vis la regardait avec surprise. Oui, bon je sais. Les voitures d'ici sont plus des 4x4, ou truc dans le genre, mais bon, je ne comptais pas aller me perdre, je ne sais ou, donc ma voiture allait très bien. Je le regarde, et lui dis que oui c'est une Porche et qu'il n'avait pas intérêt de la salir. Il se mit alors à me rire au nez, mais pas du genre discret vous voyez ? Il bascula alors légèrement en avant et s'appuie, par miracle sur la voiture. Pourvue qu'il ne me la raye pas ! Sinon, je jure que je lui fais payer. Je le regardais ensuite lever sa main gauche comme si il allait prêter serment, sauf que bon, pour prêter serment c'était la droite je crois bien. « Je le .. promet ! sur euh .. euh .. » Je le regardais, attendant la suite de sa phrase, quo bien sur ne vient pas. Il hausse les épaules. Je soupire, vraiment lasse du peu d'effort qu'il faisait pour m'aider à l'aider lui. J'ouvrais la portière pour le faire rentrer dans ma magnifique et rutilante voiture. Ah oui, j'aimais les voitures, merci papa ! Encore toute une histoire pour le faire rentrer dedans. Je vous jure, pas un brin coopératif, je vous jure. Dans quel galère je me suis encore mise moi ? Je réussis enfin à le mettre dans la voiture, je referme la porte, parle dans ma langue et file me mettre au volant. Je le regarde, lui, la tête poser sur la vitre, l'air complètement dans le vague. Je démarre et prend le chemin de ma maison. Je le regarde de temps en temps. Il a ouvert la fenêtre et a sortit sa tête dehors. Quelques minutes plus tard, nous étions arrivé chez moi. Je coupais le moteur et contournais la voiture pour le faire sortir du mieux que je pouvais. Encore une fois, je devais user de beaucoup de force et d'imagination pour le sortir de là. Il essaya tout seule mais je du encore une fois l'aider a se relever. Je finis par le faire entrer chez moi. Oui, pas la meilleure idée que j'ai eu, surtout avec mon fils à la maison mais je ne savais pas u le ramenait. Il parlait, parlait, disant des choses que je ne comprenais pas. On finit par passer la porte je sais comment, je la referme derrière nous. Il fait un genre de signe a mon fils et sa nourrice lorsqu'il les aperçoit. « SALUT LES JEUNES ! » J'écarquille les yeux. Mais c'est qu'il va faire peur a mon fils cette idiot ! Il me poussa et se libéra de mon soutiens mais bien sur il s'étala comme un idiot, ce qu'il était, par terre. Il resta allongé sur le dos, sur mon carrelage. Je l'entendis gémir. « Ça fait maaaaaaal... » Je secouais la tête, et regardais vers mon fils et sa nounou.

Não é nada não se preocupe! Marco leva seu quarto e prende-lo em até amanhã ok? ( « C'est rien ne t'en fais pas ! Emmène Marco dans sa chambre et occupe toi en jusqu'à demain d'accord ? » ) Dis-je en regardant ma nounou de mon fils qui me regarder elle,affolée légèrement. Je soupirais alors qu'elle enmenais mon fils loin de moi alors que je ne l'avais pas vu de la journée. Il allait me le payer celui-là ! Je m'approche de lui, essaye tant bien que mal de le redresser une énième fois. Je le soutiens comme je peux, et marche jusqu'à mon canapé et l'assois dessus. Je me baisse pour lui enlever ses chaussure, et le couche de force sur le canapé. Toi, tu ne bouge pas ! Je reviens. Dis-je en le pointant du doigt, Je filais dans l'appartement pour lui donne une bassine au cas ou il voudrait vomir ses tripes. Je la dépose près de lui et m'assois sur le fauteuil en face. Tu ne bouge pas, tu ne parle pas, tu dors et tu vomis sur mon canapé, je t'émascule ! Il me regarde, bouge légèrement. Tu dors j'ai dis, en espérant que ça aille mieux ensuite … J'avais l'impression de m'occuper de mon fils de deux ans.
Revenir en haut Aller en bas
Théo Lancaster

Théo Lancaster


MESSAGES : 264
POINTS : 407
DC : dan l. kingston
SITUATION : célibataire
ÂGE PERSONNAGE : 24 ans
CITATION : « Nous avons les souvenirs que nous méritons. »
✰ ✰

cahier de texte
club/sport:
filière/métier: jardinier
your friends:

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeMar 12 Juin - 9:36


GABRIELLE & THEO
sorry for the smell


« STOP ! » Aoutch, les oreilles ! Il grimaça, son cri ne faisant pas bon ménage avec son état. Mais ça fonctionna puisqu'il arrêta de gesticuler et de parler, effectuant une petite moue boudeuse, comme un gamin de 8 ans. « Je te ramène chez moi, histoire que tu cuve sans danger. » Il haussa les épaules avec dédain, l'air de dire : pfff, n'importe quoi ! Il n'y avait absolument aucun danger, tout allait bien ! Et tout irait encore mieux si sa voiture avait bien voulu s'ouvrir. « Allez, on y va. » Et Théo s'exécuta, avançant à ses côtés sans tenter encore et encore de lui échapper. Néanmoins, il ne se gênait pas pour se plaindre ou soupirer bruyamment, histoire de bien faire passer le message comme quoi il n'était pas content. Mais ça, tout le monde l'avait saisit depuis un bail à vrai dire. S'en suivit toute une épopée pour le faire rentrer dans la voiture alors qu'il ne daignait pas faire d'efforts et ce fut encore pire au moment de sortir à vrai dire. Se croyant invincible -comme la majorité des hommes bourrés- il voulu faire ça tout seul et évidemment, ça se solda par un cuisant échec. Se retrouvant les fesses sur le siège et les mains sur le bitume, la tête en avant, l'air perplexe. Bah oui, quand on oubliait de faire bouger les jambes également, voilà ce qui arrivait. La pauvre Gabrielle dû prendre sur elle et l'aider à nouveau à se tirer de là. Lui enfin debout et la voiture fermée, ils purent avancer jusqu'à la porte d'entrée, non sans mal. Une fois dedans, il vit deux personnes et ne chercha pas franchement à analyser qui ils étaient. C'est pour ça qu'il se mit à crier pour les saluer, prenant l'étrange allure d'un fan de rock en pleine transe. Jusqu'à ce qu'il veuille jouer les héros à nouveau, s'aventure seul de quelques pas et se ramasse par terre, la tête la première, avant de geindre, n'ayant absolument pas conscience du spectacle lamentable -voir effrayant- qu'il offrait à un gamin de quelques années à peine. « Não é nada não se preocupe! Marco leva seu quarto e prende-lo em até amanhã ok? » Il grimaça à nouveau, mais d'incompréhension cette fois-ci. Mince, était-il si ivre qu'il ne comprenait même plus ce qu'elle racontait ? Dans le doute, il préféra se taire et ne pas répondre, sans se douter un instant que de toute façon elle ne s'adressait pas à lui. Il restait bêtement là, allongé par terre, attendant un miracle peut-être, allez savoir ! Mais au lieu d'un miracle, ce fut Gabrielle qui vint à sa rescousse, l'aider à se relever et l'installa dans le canapé. Il posa une main sur son ventre, brassé. Elle lui retira ses chaussures et il ne broncha pas, un peu amorphe, la pression retombant doucement et le mettant dans un état second. Elle le força à se coucher et il ne se fit pas prier à vrai dire. « Toi, tu ne bouge pas ! Je reviens. » De toute façon,s'il bougeait il aurait vite fait de se casser la figure, une fois encore ! Les yeux dans le vague, il ne bougeait donc pas, patientant. Elle revint avec une bassine qu'elle installa au pied du canapé. « Tu ne bouge pas, tu ne parle pas, tu dors et tu vomis sur mon canapé, je t'émascule ! » Oh mais non, il ne voulait pas dormir. Histoire de faire opposition, il commença à remuer, dans le but de se redresser. Mais il eu à peine le temps de ramener ses jambes sous lui qu'elle l'arrêta : « Tu dors j'ai dis, en espérant que ça aille mieux ensuite. » Il soupira, boudeur et finit par s'exécuter. Quelques minutes à peine après, il dormait déjà, se mettant à ronfler comme un camionneur.

Il se réveilla aux alentours de 23h, la bouche pâteuse et les yeux fatigué. Il soupira, tourna plusieurs fois sur le canapé avant de glisser de celui-ci et de se vautrer par terre. Aoutch ! Il grimaça, resta allongé quelques secondes par terre, passa sa main dans ses cheveux et se redressa lentement. Un peu paumé, il ne comprit tout d'abord pas où il était, ne se souvenant pas de ce qu'il venait de se passer. Il déglutit, soupira, refit ça plusieurs fois et finit par se mettre debout, un peu inquiet. Il observa la pièce, elle lui était totalement inconnue. Il vit l'heure et devint de plus en plus méfiant. Nous aurions été le matin, bon, il se serait dit qu'il avait terminé la nuit chez une fille après une soirée alcoolisée et puis basta. Bien que ce serait assez étrange de se réveiller sur le canapé et non pas dans le lit avec elle... Mais là, il était 23h. Ça n'avait pas de sens. Il hésita et finit par bouger du salon. Il alla tout d'abord dans la cuisine et se passer de l'eau fraiche sur le visage, bon sang que ça faisait du bien ! Et puis ça avait le mérite de lui remettre les idées en place. Il n'y avait pas de bruits dans l'appartement, ce qui n'était pas pour le rassurer. Il marcha dans un des couloirs, jusqu'à voir une des portes entrouvertes et avec de la lumière. Il s'arrêta devant, hésita un long moment et finit par la pousser sans faire un bruit. Là, dos à lui, une brunette était installée à son bureau et travaillait. Boon.. elle n'avait rien d'un psychopathe à première vue. Il s'éclaircit la gorge, histoire d'attirer son attention et prit la parole : « hey ! euh.. salut.. euh.. j'suis où là ? Et.. t'es qui en fait ? » Il fronça les sourcils, toujours pas franchement rassuré. Il avait là un bref moment de lucidité, son taux d'alcool dans le sang était toujours aussi haut, mais le sommeil lui avait permit de retrouver ses esprits pour quelques temps, avant de sombrer à nouveau. Classique.



Revenir en haut Aller en bas
Gabrielle O. Cruz

Gabrielle O. Cruz


MESSAGES : 388
POINTS : 229
DC : Non
SITUATION : Mère célibataire.
ÂGE PERSONNAGE : 20 ans
✰ ✰

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeSam 16 Juin - 21:58

Gaby & Théo « Wake up in the morning feeling like P Diddy. Grab my glasses, I'm out the door, I'm going in this city.
Before I leave, brush my teeth with a bottle of Jack 'Cause when I leave for the night, I ain't coming back. »

Quelle journée étrange ! Sérieusement, si on m'avait dit ce matin en partant que j'allais ramasser un mec bourrée et que j'allais, acte complètement fou, le ramener chez moi, avec mon petit ange de deux ans, j'aurais ris au nez de cette personne. Non mais sérieusement, c'était complètement débile et inconscient mais je n'avais pas hésité. Je ne sais pas, ce garçon me semblait plus perdu et complètement bourrée qu'un dangereux psychopathe. Et puis même, je n'aurais pas de mal à le reposer, tellement il était incapable de faire un pas sans se casser la figure. Enfin je ne sais pas, peut-être que c'était écrit que je devais le rencontrer, l'aider et dieu sait ce qu'il se passerait ensuite ! En tous cas, tout ce que je sais moi, c'est que cet alcolo, plutôt mignon était allonger sur mon canapé, à ronfler comme un camionneur, même si je n'avais jamais entendu ronfle de camionneur de ma vie et que je n'en verrais surement jamais. Ce n'était pas dans mes plans pour l'avenir. Loin de moi l'idée de faire ma petite fille riche et gâtée, mais quand même, j'avais une plus haute estime de moi-même que de côtoyer des camionneurs sans vouloir offenser personne bien entendu. Mon père m'avait toujours dit que même si c'était difficile, que même si cela me semblais hors de porter, impossible à atteindre mais que cela me tenais à coeur, que c'était mon rêve, alors je n'avais pas le droit d'abandonner, que je devais me battre pour y arriver et qu'en dernier recours, je sorte le carnet de chèques. Mon rêve ? Devenir une artiste reconnue pour mes œuvres. Il me manque tant mon père parfois, ses conseils avisés, sa présence et son soutient inconditionnelle, ou presque. Ma mère me manquais moins. Notre relation, depuis que j'étais moi aussi maman, c'était dégradée même si elle restait toujours ma mère et qu'elle m'aiderait si j'en avais besoin. Bref, me voilà assise sur mon fauteuil, en face du garçon qui s'était enfin endormit ce qui avait été presque aussi dur que de le faire arriver jusqu'à chez moi. Je vous jure, j'étais exténuer, vidais de toute force de l'avoir soutenue, et relevais un bon nombre de fois. Je le regardais dormir, m'interrogeant sur sa personnalité, sur ce qu'il faisait qu'il avait besoin de boire autant, sur ce qu'il se cachait dessous ça. Oui, j'étais super curieuse de nature et cela pouvait une qualité ou un défauts selon les situations. Une fois que j'étais sûr qu'il ne faisait semblant de dormir, je quittais le salon et allais rejoindre mon fils et expliquais à sa nounou ce qu'il se passait avec l'inconnu. Je restais un peu avec mon fils, jouais et passais du temps avec lui jusqu'à l'heure du diner pour lui. Une fois l'avoir coucher et une fois qu'il s'était endormis, j'allais dans mon bureau pour travailler, plus pour passer le temps qu'autre chose vu que c'était rapide ce que j'avais a faire. Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais pencher sur ce dessin, ce croquis, je ne savais pas encore comment je pouvais appeler ça mais ce que je savais c'est que ce petit raclement de gorge me fit légèrement sursauté. Je levais les yeux et il était là, devant moi, tenait maintenant debout. « Hey ! euh.. salut.. euh.. j'suis où là ? Et.. t'es qui en fait ? » Je souris, amusé et me levais de mon bureau pour passer de l'autre coté, face à lui, mais toujours adossée au bureau. Cela ne m'étonne pas qu'il ne sache pas ou il est. Se rappelait t-il ce que j'avais pour lui, que je l'avais aider ? Probablement que non et au fond, je m'en fichais pas mal si il s'en souvenait, je savais ce que j'avais fais et le reste importer peu non ?

Je m'appelle Gabrielle. Lui dis-je en le regardant avec toujours mon petit accent même si je faisais tout pour qu'il s'entende le moins possible même si j'aimais bien mon petit accent du sud, cela faisait toujours son petit effet. Et ici, c'est chez moi. Lui appris-je, compatissante. Et toi ? Comment tu t'appelle ? Lui demandais-je en souriant légèrement, pour le mettre à l'aise. Je le regardais, et je souris en coin avançant vers lui. J'avoue qu'il faisait un peu pitié avec son air débrailler, ses yeux encore ensommeillés, ses cheveux légèrement en bataille. Comment tu te sens ? Tu as faim, soif ? De l'eau ou des jus de fruit évidement. Je souris nerveusement.

J'ignorais ce que j'allais faire maintenant qu'il était là, plus ou moins lucide, devant moi. Je le regardais, attendant qu'il me dise ce qu'il voulait manger ou boire, ou les deux. Je rangeais une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, gênée, ce qui était inhabituelle chez moi, surtout quand il s'agissait de mec. J'étais plutôt du genre à savoir ce que je voulais vous voyez et à tout faire pour l'obtenir. On dit que l'argent ne fait pas le bonheur, et c'est vrai, mais il y contribue un peu quand même, il ne faut pas se leurré sur le véritable fond des choses et des gens. L'argent était important dans le monde actuelle et moi j'avais la chance d'en avoir à revendre mais j'avais aussi un père qui m'avait apprit à ne pas aller trop loin, à ne pas ne la jouer, et à respecter les autres par qu'il était aussi important que moi. Bon parfois c'était plus fort que moi et je craquais et me la jouais petite fille à papa friquée.
Revenir en haut Aller en bas
Théo Lancaster

Théo Lancaster


MESSAGES : 264
POINTS : 407
DC : dan l. kingston
SITUATION : célibataire
ÂGE PERSONNAGE : 24 ans
CITATION : « Nous avons les souvenirs que nous méritons. »
✰ ✰

cahier de texte
club/sport:
filière/métier: jardinier
your friends:

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeJeu 26 Juil - 8:47


GABRIELLE & THEO
sorry for the smell


Théo était complètement à la ramasse, n'ayant pas la moindre idée de ce qu'il foutait là. D'ailleurs, il ne savait même pas où c'était "là". Mais à première vue, ça n'avait pas l'air d'être un lieu bien dangereux. Un simple petit bout de femme, mignon comme tout qui plus est, en train de sourire. Elle ne pouvait pas lui faire grand mal, n'est-ce pas ? Il se gratta la tête, la bouche encore un peu pâteuse et les yeux qui le picotaient doucement. La brunette se leva de son bureau et le contourna avant de venir prendre appui dessus, devant le regard éteint de Théo qui attendait des réponses sans broncher. Bon sang que son crâne lui faisait mal ! Ça cognait et en plus, il avait chaud. « Je m'appelle Gabrielle. » Gabrielle, d'accord. Il se concentra pour s'efforcer de mémoriser son prénom. Même s'il l'aurait certainement oublié demain matin. Appuyé contre l'encadrement de la porte, il recherchait son équilibre tout en se concentrant sur la dénommée Gabrielle. Difficile de faire autant de choses à la fois dans son état... « Et ici c'est chez moi. » D'accord, donc il était chez une parfaite inconnue qui répondait au doux nom de Gabrielle. Mais il ne savait toujours pas ce qu'il foutait là. Il leva un peu la tête, observant autour de lui, la pièce, les murs, les meubles. Sans vraiment percuter sur ce qu'il voyait. « Et toi ? Comment tu t'appelle ? » Comment il s'appelait.. Alors ça, c'était une excellente question. Théo bloqua un moment, le regard dans le vide, l'air un peu bête. Il prit le temps de réfléchir quelques secondes avant de répondre mollement, pas très sûr de lui. « Euhh... Théo. » Oui voilà, c'était ça. Théo. Il hocha doucement la tête afin de bien appuyer ses paroles. La jolie brune s'approcha alors de lui, un petit sourire malicieux sur les lèvres, son regard posé dans le sien. Théo se redressa, retrouvant à son tour un petit sourire charmeur. « Comment tu te sens ? Tu as faim, soif ? De l'eau ou des jus de fruit évidement. » Comment il se sentait ? C'était bien simple : « Vaseux. » Oui, c'était absolument glamour mais que voulez-vous.. c'était elle qui avait posé la question ! Il ne se détachait cependant plus de son petit sourire, la dévisageant sans gêne. Tandis que elle par contre semblait plutôt embarrassée face à lui. C'était presque mignon dit donc. Il continua : « T'aurais pas du coca plutôt ? » Il n'y avait rien de mieux contre la gueule de bois ! Il haussa les épaules et ajouta : « Sinon tant pis, juste de l'eau. » Il se détacha totalement de la porte et ils prirent la direction de la cuisine. Une fois arrivé dedans, Théo s'installa sur l'une des chaises en soupirant, encore un peu brassé et la tête ailleurs. Il attrapa le verre qu'elle lui tendait et la remercia d'un simple signe de tête. Déjà qu'il la remerciait, c'était pas mal. Il prit quelques gorgées de la boisson et soupira discrètement. Il la chercha du regard et reprit la parole : « Et sinon, donc, comment je suis arrivé là ? » C'est que.. tout était plutôt flou dans sa tête. Il se revoyait sur sa tondeuse, la bouteille à la main et puis.. plus rien. Et il était plutôt perplexe. Généralement, soit il se réveillait dans la réserve de l'université, ou dans sa voiture, ou devant sa porte. Mais alors ça... il n'avait encore jamais fait ! Puis, il appuya ses coudes sur la table et pencha la tête sur le côté, la fixant doucement. « Tu viens d'où toi ? » Il ne fallait pas croire, il avait beau être dans les vapes, son petit accent ne lui avait pas échappé pour autant. Il eut un fin sourire sur les lèvres. C'est que il était très mignon son accent justement...



Revenir en haut Aller en bas
Gabrielle O. Cruz

Gabrielle O. Cruz


MESSAGES : 388
POINTS : 229
DC : Non
SITUATION : Mère célibataire.
ÂGE PERSONNAGE : 20 ans
✰ ✰

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeVen 27 Juil - 13:19

J'ignorais quelle heure il était vraiment, probablement que nous étions à une heure avancée de la soirée. Cette fin de journée avant vraiment était particulière à partir du moment ou j'avais trouver le jeune homme ivre près de l'université ou je prenais des cours en avance en vue de la rentré de Septembre. Jeune homme ivre qui après avoir fait peur à mon fils et à sa nourrice, c'était endormit sur mon canapé. J'étais folle, vraiment folle de l'avoir ramener chez moi, là ou je vis avec mon fils de deux ans, alors que je ne connaissais rien de lui. Bien sur il n'avait pas l'air méchant, juste franchement paumé comme garçon,mais je sais pas, peut-être que je n'étais pas indifférente à son charme, bien qu'il ne se soit pas vraiment montrer sous son meilleur jours. « Euhh... Théo. » Me dit en répondant à ma question après un moment plutôt long de réflexion ce qui me fit sourire mais qui était normal compte tenue du fait qu'il était saoul. Oui, il avait vraiment l'air paumé, cela en était presque marrant en fin de compte. Il semblait néanmoins tenir debout par ses propre moyens, c'était déjà ça. Mon dis souffrait encore de l'avoir soutenue durant je ne sais combien de temps et relever un nombre incalculable de fois par ce qu'il était trop saoul pour tenir sur ses jambes. Son nom était donc Théo. Joli. Je ne regrettais pas de l'avoir aider, de l'avoir amener chez moi. Dans l'était dans lequel je l'ai trouvais, qui sait ce qu'il aurait pu faire !Il aurait pu blesser quelqu'un – ce qu'il ne se serait jamais pardonner - ou se blesser lui-même et cela aurait pu être très grave. Je le regardais en souriant. « Enchantée Théo.» Et j'étais sincère, même malgré l'étrangeté de notre rencontre et le fais que demain, il ne se souviendrait surement plus de moi. Je lui demandais alors comment il se sentait et si il voulait quelque chose à manger ou à boire. Je voulais qu'il se sente bien, qu'il se remette. Son sourire charmeur qui apparue sur ses lèvres me fit plaisir, sans que je sache vraiment pourtant. J'avais toujours mon sourire à moi sur mes lèvres pulpeuses. « Vaseux. » Je ne pu m'empêcher de pouffer légèrement de rire. Oui, c'était assez normal qu'il se sente vaseux, enfin il l'avait un peu chercher aussi en buvant autant d'alcool, surtout avec la chaleur qu'il faisait dehors. Il ne me quittait pas des yeux, son petit sourire toujours sur ses lèvres. Cela me plaisait assez en faite, et c'était loin de me faire peur. « Au vue de ton état quand je t'ai trouver, c'est pas vraiment surprenant ! » Lui appris-je avec humour, un petit sourire sur les lèvres. Il devait déjà se sentir mal, je ne voulais pas en rajouter encore à son mal. « T'aurais pas du coca plutôt ? Sinon tant pis, juste de l'eau. » Je m'avançais encore vers lui, en hochant la tête. «  Si j'ai du coca au frais, enfin normalement. Suis moi. » Il se détacha de la porte ou il s'était adossé et d'où il m'observait et me suivit jusque dans la cuisine. Il prit place sur une des chaises alors que j'allais au frigo, sortir le coca pour lui servir son verre. Je m'en servais un verre aussi. Je lui tendis finalement son verre et il me remercia d'un signe de tête. Je ne m'en offusquais pas. Je me servais un verre pour moi aussi et rangeais la bouteille au frigo avant d'aller m'asseoir moi aussi sur une chaise. « Et sinon, donc, comment je suis arrivé là ? » Je ris légèrement, sentant déjà que j'allais rire, e qu'il allait être mal à l'aise. Je bu une gorgée de coca, tout en me demandant dans ma tête comment j'allais lui raconter tout ça. «  Disons que je t'ai trouver saoul devant l'université, pestant contre ta voiture qui ne s'ouvrait pas … Mais encore il aurait fallu que tu est les bonnes clefs en main. Je ne sais pas pourquoi, j'ai pas pu te laisser là-bas. Alors j'ai passais mon bras sous le tiens pour te soutenir, et je t'ai amener à ma voiture tant bien que mal et je t'ai ramenais chez moi. Voilà. » Je le regardais, buvant une autre gorgée de mon verre, appréciant la fraicheur du liquide dans ma gorge sèche de ne pas avoir parler pendant un long moment, comme tout les monde dormait chez moi, sauf moi évidement, car je voulais attendre qu'il se réveille, ce qui était fait. « Tu viens d'où toi ? » Me demanda t-il soudainement en penchant légèrement la tête, et je supposais que c'était mon accent qui l'avait mit sur la voix. Après tout, mon anglais n'était pas parfait, loin de là et j'étais portugaise, pas américaine. Je lui souriais malicieusement. «  Mon accent t'intrigue n'est ce pas ? Je viens du Portugal, j'ai débarquais il n'y a pas longtemps. Ma famille y vit encore, c'est mon chez moi, mon pays. »
Revenir en haut Aller en bas
Théo Lancaster

Théo Lancaster


MESSAGES : 264
POINTS : 407
DC : dan l. kingston
SITUATION : célibataire
ÂGE PERSONNAGE : 24 ans
CITATION : « Nous avons les souvenirs que nous méritons. »
✰ ✰

cahier de texte
club/sport:
filière/métier: jardinier
your friends:

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeJeu 2 Aoû - 8:01


GABRIELLE & THEO
sorry for the smell


« Enchantée Théo Oui, de même. Très enchanté même ! Son regard se balada tranquillement sur la silhouette de la jeune femme, se délectant de ses formes. Il ne savait toujours pas vraiment comment il était arrivé là, mais il avait plus ou moins une idée. Et si à chaque fois qu'il était complètement bourré une jolie fille le prenait sous son aile... Il allait remettre ça plus souvent ! A croire que les femmes aiment les hommes dont il faut s'occuper. Enfin, pas toutes évidemment. Prenez Maxine par exemple ! Elle, elle serait plus du genre à le laisser crever sur le bord de la route, comme un chien galeux. Horrible femme qu'elle était ! Mais qu'importe, on s'en foutait de Maxine. Il était sous le toit d'une charmante brune et il n'y avait plus que ça qui comptait désormais. Lorsqu'elle lui demanda comment il se sentait, il n'hésita pas vraiment sur la réponse. Il était vaseux. Terriblement et horriblement vaseux. La tête dans le coltard, la bouche pâteuse, les yeux encore endormis. Bref, ce n'était pas la grande forme quoi. Mais le large sourire de l'inconnue le revigorait déjà un peu. « Au vue de ton état quand je t'ai trouver, c'est pas vraiment surprenant ! » Ses soupçons se confirmèrent à l'entente de cette phrase. Elle avait dû le trouver quelque part, complètement raide. Il espérait ne pas lui avoir causé un accident. Vous savez, lui au volant, elle qui arrive en face et BAM, il perd le contrôle de la voiture, se déporte et lui rentre dedans. Bon, sûrement pas en fait. Parce qu'il y avait bien peu de chance pour qu'elle soit ensuite gentille avec lui et l'héberge. A moins qu'elle soit bonne sœur. Et encore ! Il se contenta donc de hocher la tête en riant doucement. Il valait mieux qu'il prenne les choses à la légère. Parce que s'il gardait son air grave et renfrogné, elle s'interrogerait. Il n'avait pas du tout envie de se mettre en mode confession ! "Bouhouhou, je bois pour oublier que mon meilleur ami est mort à cause de moi !" Non pitié, vraiment pas son truc ça. Et si elle demandait des explications, il inventerait une connerie. N'importe quoi, le premier truc qui lui passerait par la tête. Elle lui proposa à boire et Théo se permit de réclamer du coca. C'était encore ce qu'il y avait de plus efficace contre la gueule de bois. « Si j'ai du coca au frais, enfin normalement. Suis moi. » Il ne se fit pas prier et lui emboita tranquillement le pas avant de s'installer sur une chaise de la cuisine, pendant que Gabrielle leur préparait un verre chacun. Il s'empara bien vite du sien lorsqu'elle le lui tendit, assoiffé. Le liquide pétillant glissa dans sa gorge, l'apaisant et le rassasiant. Ce truc c'était magique ! Horriblement chimique, mais tellement efficace. Il finit donc par l'interroger, cherchant à avoir les détails de la situation. Ça l'intriguait pas mal à vrai dire. « Disons que je t'ai trouver saoul devant l'université, pestant contre ta voiture qui ne s'ouvrait pas … Mais encore il aurait fallu que tu est les bonnes clefs en main. Je ne sais pas pourquoi, j'ai pas pu te laisser là-bas. Alors j'ai passais mon bras sous le tiens pour te soutenir, et je t'ai amener à ma voiture tant bien que mal et je t'ai ramenais chez moi. Voilà. » Hmm... Encore un moment très glorieux pour le jeune homme. Si ça continuait, il allait finir par perdre son emploi. Malheureusement, ça ne l'inquiétait pas plus que ça. Il s'en foutait même carrément. Par contre, l'idée de tuer quelqu'un au volant ça... Ça le rendait honteux. Mais il fit comme si de rien était, comme s'il n'était pas touché par les évènements. « J'espère que j'ai pas trop été chiant ! J'ai parfois l'alcool mauvais. » AHAH ! Parfois ? A chaque fois oui. Mais ça, elle n'était pas censée le savoir. Ni même censée savoir qu'il avait de tendances alcooliques. Ça ne regardait personne, voilà tout. Après une autre gorgée, il s'efforça de dire un petit truc gentil : « En tout cas bah.. c'est sympa. De m'avoir accueillit. » Il fallait dire qu'elle avait quand même prit de sacrés risques. Elle n'avait eu aucune idée de sur qui elle tombait. Il aurait pu être violent. Il aurait pu lui voler des choses et s'en aller. Il aurait pu la tuer aussi. Il y a tellement de malade qui se balade librement dans ce pays.. ! Effrayant. Heureusement, il n'était rien de tout ça. Juste un grincheux dépressif. A vrai dire, il était plus dangereux pour lui-même que pour autrui. Intrigué par son accent, il l'interrogea dessus. Elle se mit à sourire. Cette fille était décidément très charmante. « Mon accent t'intrigue n'est ce pas ? Je viens du Portugal, j'ai débarquais il n'y a pas longtemps. Ma famille y vit encore, c'est mon chez moi, mon pays. » Exotique. Son sourire s'agrandit, lui lançant un petit regard charmeur. « En tout cas j'adore. J'adore vraiment.. beaucoup. » Sourire et regard insistant. Il finit par la lâcher du regard pour terminer son verre. « Tu habites seule ici ? » Parce que si elle vivait ici avec son copain, autant qu'il se barre maintenant. Sinon... il avait bien l'intention de rester dormir ici. Oh ça oui. Culotté, il se permit de dire : « Et sinon, je dormirais où ? Pas dans le canapé j'espère.. ? J'ai mal partout et j'ai faillis me casser la figure une dizaine de fois.. » Théo lui fit son petit air de chien battu, la suppliant du regard. Bon, les douleurs étaient certainement due à toutes ses chutes à vrai dire ! N'empêche que voilà, il n'avait pas envie de dormir dans le canapé. Et s'il n'y avait pas d'autres endroits pour dormir.. pas grave.. ils pourraient toujours se serrer dans le lit de Gabrielle. Non ?
Revenir en haut Aller en bas
Gabrielle O. Cruz

Gabrielle O. Cruz


MESSAGES : 388
POINTS : 229
DC : Non
SITUATION : Mère célibataire.
ÂGE PERSONNAGE : 20 ans
✰ ✰

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeLun 13 Aoû - 9:04

Je me demandais vraiment comme ça se finirait tout ça, cette drôle de fin de journée. On ne faisait pas plus bizarre enfin selon moi en tous cas. Le pure c'était que cela ne me ressembler pas du tout. Pas d'aider un inconnue, ça je le faisais mais le ramener chez moi, avec mon fils, c'était vraiment pas responsable, mais je ne sais pas, il ne m'avait pas parue méchant, mais plutôt totalement paumé comme garçon et puis il était loin d'être repoussant si vous voyez ce que je veux dire et depuis le père de Marco, je n'avais pas eu d'autre relation, ni même une aventure sérieuse. Je ne crois pas être prête pour ça. « J'espère que j'ai pas trop été chiant ! J'ai parfois l'alcool mauvais. » Je ne pu m'empêcher de rire fasse a ce qu'il venait de rire. Je n'ai vraiment pas pu m'en empêcher; Il avait parfois l'alcool mauvais ? C'était un euphémisme de dire ça. Sérieusement, j'avais un mal de dos incroyable de l'avoir soutenue et relevais un bon nombre de fois par ce qu'il était tellement saoul que pour lui, tenir debout sur ses deux jambes était un exploits. « En tout cas bah.. c'est sympa. De m'avoir accueillit. » Je le regardais en souriant, assise sur ma chaise, mon verre de coca poser devant moi sur la table, l'observant sans en avoir l'air. «  Chiant ? C'est pas le mot que j'emploierais. Je dirais plutôt encombrant. J'ai vraiment eu du mal à te faire monter dans ma voiture, tout un exploit de te le dis, et puis j'ai du te relever plusieurs fois. Mon dos ne te remercie pas ! » Je lui faisais un clin d'oeil. Je disais ça, mais j'aurais oublier la douleur demain et puis bon je n'étais pas en sucre non plus. Je le regardais, intriguée par lui et voulant en savoir plus mais pas pour le moment, ce n'était le meilleur moment. Je buvais une gorgée de mon verre, et je ne le quittais pas des yeux sans que j'ignore pourquoi. J'étais curieuse de nature, et comment dire que son histoire m'intéressais mais bon, je n'allais pas lui demander de tout me raconter sur lui, sur le pourquoi du comment il s'est mit à boire autant, je me doutais que c'était pas forcement un truc dont il lui était facile de parler et on ne se connaissait pas du tout. Il me demanda ensuite d'où je venais, ayant sans doute compris grâce à mon accent prononcé que je n'étais pas du coin, vraiment pas. Je lui disais alors que je venais du Portugal et que cela ne faisait pas longtemps que j'étais sur le sol américains. Je vis son sourire s'agrandir et son regard devenir charmeur. Oh, on dirait qu'il n'était pas insensible au charme du sud … « En tout cas j'adore. J'adore vraiment.. beaucoup. » sourire à couper souffle, plus son regard dans le miens, je me mordais légèrement la lèvre en baissant les yeux. Je rêvais ou il me faisait du charme ? J'étais presque mal à l'aise, je n'avais plus été draguer de la sorte. « Oui, c'est un pays magnifique, tu devrais y aller si tu en as l'occasion ! Et ma famille étant fortunée, je n'ai jamais manquer de rien. On peut difficilement demander mieux tu crois pas ? » Lui dis-je en souriant chaleureusement, charmeuse. Il détourna enfin le regard et je pus enfin respirer. Il termina son verre. Je l'observais jusqu'à ce qu'il m'interroge à nouveau. « Tu habites seule ici ? » Je le regardais, surprise par sa question. N'avais t-il pas vu mon fils et sa nounou ? C'était plus grave que je croyais alors surtout qu'il avait presque traumatisé mon petit homme et sa nounou avait eu peur elle aussi.« Et sinon, je dormirais où ? Pas dans le canapé j'espère.. ? J'ai mal partout et j'ai faillis me casser la figure une dizaine de fois.. » Il me regarda avec le même regard de chien battus qu'avait Marco quand je lui disais non et qu'il voulait quand même quelque chose ce qui me fit sourire involontairement, surtout que ses intentions était claires, enfin pour moi en tous cas et ça ne m'effrayais pas. «  Hum, non, je vis pas seule. Mon fils de deux ans vit avec moi …Et sa nounou vit à l'étage en dessous. » Je le regardais, gênée et mal à l'aise. Dès que les gens savaient pour Marco, surtout ici aux USA, j'avais l'impression que leur regards sur moi changeait du tout au tout et c'était pas vraiment agréable de se savoir juger de la sorte. J'espérais qu'il ne prendrait pas ses jambes à son cou. Je prenais une respiration et le regardais, plus sur de moi maintenant. Je voyais bien ce qui était dissimuler derrière ses paroles, je n'étais pas naïve. « Je pense que mon lit est assez grand pour nous deux … » Je le regardais, avec dans mon regard, une lueur lubrique, charmeuse et tentatrice, aussi, un peu. J'avais retrouver confiance en moi et j'étais prête à jouer avec lui. Je me levais de la chaise, attrapais mon verre, puis allais prendre le siens et je mettais les deux verre dans l'évier avant de me retourner, de m'appuyais contre l'évier et de vriller mon regard dans le siens.

Revenir en haut Aller en bas
Théo Lancaster

Théo Lancaster


MESSAGES : 264
POINTS : 407
DC : dan l. kingston
SITUATION : célibataire
ÂGE PERSONNAGE : 24 ans
CITATION : « Nous avons les souvenirs que nous méritons. »
✰ ✰

cahier de texte
club/sport:
filière/métier: jardinier
your friends:

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeDim 19 Aoû - 11:13


GABRIELLE & THEO
sorry for the smell

« Chiant ? C'est pas le mot que j'emploierais. Je dirais plutôt encombrant. J'ai vraiment eu du mal à te faire monter dans ma voiture, tout un exploit de te le dis, et puis j'ai du te relever plusieurs fois. Mon dos ne te remercie pas ! » Théo fit mine de rire, mais à vrai dire il riait jaune. Pas fier de lui, il était plutôt honteux. Théo n'aimait pas franchement qu'on le voit dans un état aussi lamentable. Et il aimait encore moins qu'on vole à son secours, surtout si c'était un petit bout de femme comme elle. Il se sentait incroyablement faible et dévirilisé, difficile à encaisser pour lui qui essayait sans cesse de faire le mec qui se fichait de tout, qui avait la belle vie. Il déglutit, cherchant une petite phrase à sortir pour casser un peu l'image d'alcoolique dépressif qu'elle pourrait éventuellement avoir de lui. Il haussa doucement les épaules, gardant un sourire plutôt crispé pendu aux lèvres et répondit finalement : « Ouais désolé, j'ai été un peu con pour ça ! J'étais à une soirée hier et aujourd'hui j'avais un mal de crâne horrible et.. j'ai voulu combattre le mal par le mal ! Mais avec ce soleil, ça m'a pas mal achevé. Plus le manque de sommeil, ça n'a pas arrangé le résultat. » Il prit une grande lampée de coca et souffla discrètement, espérant qu'elle le croirait sur parole et qu'elle ne l'interrogerait pas plus que ça. De toute façon, elle n'obtiendrait rien de lui. Théo était borné comme pas possible, absolument pas du genre à fondre en larmes et confier tous ses malheurs. Il préféra donc chasser tout ça de son esprit et tout miser sur son incroyable charme (modestie n'était pas son deuxième prénom, c'est certain). Un sourire charmeur en coin des lèvres il proposa : « Peut-être qu'après un petit massage ton dos me remercierait.. t'en dis quoi ? » D'accord, Théo n'était pas le genre de mec à avoir une approche discrète, subtile et tout le tralala. Non, lui il était cash, mais au moins il était honnête dans ses intentions. Et jusqu'à présent, ça avait plutôt bien marché. Certes il s'était déjà mangé quelques gifles et "non", mais malgré ça son taux de réussite était plutôt élevé. D'ailleurs, sa réputation au sein de l'université n'était plus à faire. Toujours lancé dans son petit numéro de drague, il se mit à complimenter son accent avec insistance. Elle souriait mais semblait un peu embarrassée, ce qui était selon lui une excellente chose. Elle n'était pas insensible à ses compliments et voilà tout ce qui comptait. D'ailleurs, il l'a trouvait absolument adorable quand elle était gênée comme ça. « Oui, c'est un pays magnifique, tu devrais y aller si tu en as l'occasion ! Et ma famille étant fortunée, je n'ai jamais manquer de rien. On peut difficilement demander mieux tu crois pas ? » Oui en effet, on pouvait difficilement demander mieux.. Théo resta silencieux quelques secondes, songeur. Il ne pouvait pas prétendre avoir eu une vie aussi "géniale" que la sienne. Mais il préféra ne pas songer à tout ça et déclara : « Si toutes les portugaises sont aussi charmantes que toi, il me tarde d'y aller. » Non, le but n'était pas de dire qu'il était un gros chaud lapin et qu'il allait aller au Portugal dans l'espoir de serrer un maximum de filles. Mais c'était juste de glisser dans une phrase qu'elle était charmante. Il termina son verre, de plus en plus satisfait face à l'attitude de Gabrielle. Son sourire charmeur ne lui avait pas échappé, elle semblait vraiment réceptive, de quoi enchanter le jeune homme. Il continua de l'interroger un peu, curieux. « Hum, non, je vis pas seule. Mon fils de deux ans vit avec moi …Et sa nounou vit à l'étage en dessous. » Il y eu un long blanc. Théo la fixa longuement, pour le moins... surprit. Elle avait donc un fils. L'angoisse. Il déglutit, se mettant alors à réfléchir à toute allure. Au pire, en quoi serait-ce gênant qu'elle ait déjà un enfant ? Il ne comptait pas la demander en mariage, ce petit être ne serait en rien un obstacle dans ses envies. Il retrouva donc le sourire et demanda : « Un fils, d'accord. Et le père, tu es toujours avec ? » Juste histoire de savoir s'il était en train de draguer une célibataire ou pas. Si elle ne l'était pas, ça ne le dérangerait pas pour autant. Il faudrait juste être plus... méfiant, quant aux retombées ! « Je pense que mon lit est assez grand pour nous deux … » Intéressant. Et encore plus avec le regard qu'elle lui lançait. Bingo ! C'était dans la poche. Satisfait rien qu'à l'idée de ce qui l'attendait, il lui rendit son regard, plutôt impatient. Elle se leva pour aller déposer leurs deux verres dans l'évier et Théo en profita pour laisser glisser ses yeux le long de la silhouette de la belle brune. Il se mordilla la lèvre inférieure, absolument conquis par ce qu'il voyait. Lorsqu'elle se retourna et posa ses prunelles dans les siennes, il finit par se lever aussi et s'approcher d'elle. Il posa ses mains sur l'évier, de part et d'autre de la jeune femme, le visage à quelques centimètres à peine du sien, leur souffle chaud s'emmêlant. Il murmura : « Allons-y alors, il me semble que je te dois un massage. » Il s'écarta d'elle et tout en reculant, il attrapa l'une de ses mains dans la sienne et l'entraina à sa suite, direction la chambre de tout à l'heure. Une fois dedans, il prit soin de refermer la porte derrière eux -pas vraiment envie de se faire surprendre par la nounou ou l'enfant- et se contenta d'allumer la lampe de chevet à côté du lit. Histoire de créer une ambiance plus intime et tamisée. Il lui fit signe de s'allonger sur le lit, puis il prit place au-dessus d'elle et, doucement, il commença le massage. D'abord par-dessus les vêtements, afin de ne pas l'effrayer non plus. Et, petit à petit, il commença à essayer de défaire la fermeture de sa robe, histoire de guetter ses réactions.
Revenir en haut Aller en bas
Gabrielle O. Cruz

Gabrielle O. Cruz


MESSAGES : 388
POINTS : 229
DC : Non
SITUATION : Mère célibataire.
ÂGE PERSONNAGE : 20 ans
✰ ✰

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitimeMar 21 Aoû - 20:29

Je sentais que finalement la soirée prenait une tournure plutôt cool et cela me plaisais beaucoup. Je sentais que je lui plaisais, et c'était toujours agréable, surtout quand on avait mit un enfant au monde. J'avais tellement eu l'impression de ne plus être aussi désirable et désirée qu'avant. Les premiers mois n'ont vraiment pas été facile et j'avais faire face à beaucoup de changement tant physique que moral mais aussi des gros changements dans ma vie même. Rien n'allait plus être comme avant. C'était comme si ma jeunesse était déjà fini et que là, en voyant Théo qui me draguait, je me sentais beaucoup mieux et j'étais rassurée de voir que je plaisais encore. Oui je sais, je suis une femme complexe. Mais se sentir désirée cela faisait toujours du bien. Je lui racontais alors comment on en était arrivés à être chez moi, et le parcours du combattant qu'il m'avait fait faire. Moi j'en riais, ce n'était plus très important, ce qu'il comptait c'est qu'il soit en sécurité et pas à traine saoul dans les rues, mais même si il rit, je sentis que le coeur n'y était pas. Il devait probablement se sentir mal de son comportement mais ça va, il n'avait rien faire d'impardonnable. « Ouais désolé, j'ai été un peu con pour ça ! J'étais à une soirée hier et aujourd'hui j'avais un mal de crâne horrible et.. j'ai voulu combattre le mal par le mal ! Mais avec ce soleil, ça m'a pas mal achevé. Plus le manque de sommeil, ça n'a pas arrangé le résultat. » M'expliqua t-il bien qu'il n'en n'était pas obliger, cela ne me regarder pas et je n'avais certainement pas à lui dire quoi faire. Je le regardais un peu fixement alors qu'il buvait une gorgée de son verre. Je me doutais que c'était plus complexe que cela mais ce n'était pas mes affaires et je n'étais pas du genre à tenter désespérément de lui faire cracher le morceau, cela ne servait à rien et puis, pourquoi est ce qu'il me le dirait ? On ne se connaissait pas du tout et si c'était quelque chose de douloureux, je n'avais pas à l'obliger en plus même si ma curiosité me poussait à vouloir savoir. « C'est sur que boire avec une chaleur pareille, c'est pas très prudent ! Mais au moins, je pense que maintenant tu le sais, non ? » Dis-je en riant légèrement en le regardant mes yeux eux aussi rieur. Cela aurait pu mal finit si je n'étais pas tomber sur lui, et au moins, même si il avait eu une belle honte, il était sain et sauf. « Peut-être qu'après un petit massage ton dos me remercierait.. t'en dis quoi ? » Dit t-il avait un sourire en coin, charmeur qui en disait long, mais cela ne me faisait pas peur du tout. Un sourire prit place sur mes lèvres. L'idée était loin de me déplaire, bien au contraire. Je le regardais et hochais la tête en me mordant la lèvre. « Je pense que cela devrait effacer ta dette oui. » Je la regardais une lueur qu'il comprendrait dans les yeux. Plus le temps passait et plus j'étais dans l'ambiance qu'il avait créer. Ensuite on parla de mon accent et de ce fait de mon pays. Je savais que mon petit accent l'intriguer et puis cela me plaisait de parler de mon pays, de mes racines et il semblait un minimum intéressé, ou alors c'était juste moi quo l'intéresser mais ça m'aller aussi. « Si toutes les portugaises sont aussi charmantes que toi, il me tarde d'y aller. » Je gloussais comme une débutante, une collégienne. Reprend toi Gaby voyons ! Je lui souriais, comme pour le remercier du compliment, car c'était là bel et bien un compliment pour moi et il faisait plaisir à entendre. « Le jour ou tu y va, préviens-moi surtout. Je te dirais ou aller, et surtout, ou ne PAS aller ! Je connais de super endroit. Et sinon, toi tu viens d'où ? Par ce qu'on parle de moi là, et du coup je sais rien de toi Théo. » Je lui fis un clin d'oeil sans me départir de mon sourire. Il me questionnait mais cela ne me déranger pas, je n'avais rien à cacher et ses questions n'étaient pas indiscrètes et il fallait qu'on fasse un minimum connaissance non ? Il continua de m'interroger et me demanda si je vivais seule et ou il dormirait, en autre, ce qui me fit sourire. Je lui parlais alors de Marco, espérant qu'il ne prendrait pas la fuite comme beaucoup d'autres. Comme je le craignais, un gros blanc s'installa. Je regardais mes pieds, mal à l'aise, me sentant observer, peut-être même juger. Je relevais la tête, a fond courageuse et lorsque je vis son sourire, je me détendais un peu. « Un fils, d'accord. Et le père, tu es toujours avec ? » Je secouais la tête, évitant de trop y penser, et de me remémorer des chose dont je n'avais pas besoin de me rappeler et que je préférais oubliés. « Non non, il n'y a que moi et mon fils. » Je lui faisais un petit sourire, avant de me détourner, n'ayant pas envie de m'étendre sur le sujet. Pour changer de sujet, je lui disais, non sans arrière pensée, que mon lit était assez grand pour nous deux. Si avec ça et mon regard il ne comprenait pas que c'était total free, moi je ne suis plus une Cruz. Dans son regard, la même lueur que dans le miens. Bien. Je ramassais nos deux verres et allais les mettre dans l'évier. Je me sentis observer mais cela me fit sourire. Je me retournais et plantais mon regard dans le siens, sans craintes. Je restais là, sans plus bouger. Il finit par s'avancer, et posa ses main de part et d'autre de mes hanches. Je le regardais toujours, sentant une douce chaleur m'envahir. « Allons-y alors, il me semble que je te dois un massage. » Murmura t-il son souffle chaud se mêlant délicieusement au miens. Je le regardais, mon sourire toujours présent. Il se recula et se saisit de ma mains avant de m'entrainer vers ma chambre dont il prit la bonne idée de fermer la porte. Il lâcha ma main pour aller allumer la petite lampe avant de me faire signe d'aller m'allonger, ce que je fis sans demander mon reste. Je m'allongeais délicatement, attendant la suite. Je trouvais une position adéquate et fermais les yeux. Il prit place au dessus de moi, et je sentis juste une légère pression dans mon dos. Je souris, m'abandonnant à ses mains. « Hm, Plutôt doué de tes mains on dirait ! » Je souris et me détendais peu à peu de plus en plus en confiance avec lui si bien que quand il s'attaque à la fermeture de ma robe, je ne sursautais, ni ne l'empêchais.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



✰ ✰

sorry for the smell◗ gabrielle Empty
MessageSujet: Re: sorry for the smell◗ gabrielle   sorry for the smell◗ gabrielle Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

sorry for the smell◗ gabrielle

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Par ce que la vie sans amis, c'est pas une vie | Gabrielle.
» Gabrielle | J'ai tant besoin de toi...
» [ TERMINE ] Ahah, tu crois que tu me fais peur ? J'ai donner la vie, rien ne me fait plus peur | Gabrielle.
» Moment de vie, moment d'infini | Gabrielle.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
◗ WYOMING MYSTERY :: LARAMIE :: ◗ quartiers habitations :: Downtown Laramie-
ACCUEIL
BAZZART.
TOP-SITE.
TUMBLR.
LES JEUX.

Ⅰ. CONFETTIS
Ⅱ. GÂTEAU
Ⅲ. BOUGIE
S'INTEGRER
LES DéFIS
Tweets by wab_rpg