"Entre gens riches, très riches, on se connait, le monde est si petit... Près de 7 milliards d'habitants sur cette planètes, et si peu réellement intéressant... Bref, Gabrielle, elle fait partit de MON monde. Alors forcément, j'ai été tellement heureuse de savoir que miss "je suis la princesse de Lisbonne" était dans cette fac pourrie au fin fond du trou du cul du monde. Je m'attendais à une PPG, comme moi, et à la place, j'ai découvert des couches sales et des biberons. BEURK !! Mais, en tant que consoeur riche, je me dois de l'aider à retrouver le chemin de la raison (ou des boutiques de luxe...), et tenter de la faire se débarrasser de cette chose bruyante et malodorante, que je répugne à toucher ou approcher."

"... Cette fille est bizarre. Je veux dire, pas bizarre dans le sens : elle porte du violet avec du marron, ou des t-shirts oranges… Non, dans le sens : je ne sais pas quoi penser d’elle. Et ça, je n’aime pas. Je n’aime pas ne pas savoir, that’s all. Alors, du coup, mon côté fouineuse ressort, forcément. Disons plutôt que j’aime savoir les petits secrets de mon peuple (futur peuple, bref, tout ceci a si peu d’importance !) : Machiavel l’avait parfaitement compris : il vaut mieux être craint de ses sujets qu’aimé d’eux : au moins, s’ils nous craignent, ils n’oseront pas s’attaquer à nous (à moi) le jour où ils cesseront de m’aimer. Et quoi de mieux que savoir les tréfonds des âmes de mes sujets pour pouvoir les tenir sous la coupe ? Alors, on enfile son masque de gentille, on sourit, on lui sourit, à cette blonde, on fait ami-ami, et on en apprend plus sur elle. Mais prudence Prudence…"

"Je hais cette fille. Je la hais, je la déteste, je la HAIS ! Pourquoi ? … On va dire que c’est compliqué. Lorsque j’ai débarqué à l’université, j’ai failli avoir une crise cardiaque. Helloooooooooo, what’s this place ?? Tout autour de moi est moche, ça sentait le pauvre à plein nez ! Et le pire du pire : personne pour porter mes bagages jusqu’à ma chambre. J’étais déjà en train de feuler (le bruit que je fais quand je m’énerve…) quand j’ai vu cette… ombre, passer. Je l’ai appelé, claquant des doigts, mes Chanel sur le nez, en lui faisant signe d’approcher. Elle a fait un pas en arrière, avant de s’enfuir. WHAAAAAAT ?? C’est quoi ces gens ! Tous des malades ! Du coup, j’ai fait ma petite enquête… Principalement par Gabrielle. Et ce que j’en ai appris m’a fait la haïr. Un déchet ! Une pauvre (au sens propre) fille suicidaire… Suivie par un psy, qu’à finit en hôpital psychiatrique plus d’une fois. Et le fait est qu’elle me rappelle, par certains aspects de sa personnalité (si on peut parler de personnalité)… Ma propre personne. Mon séjour de huit mois à l’hôpital où psys et médecins ont tentés de me « guérir » de ma boulimie. Cette tâche reflète l’une des plus grandes hontes de ma vie. Je la hais, pour ça. Et quand je hais quelqu’un, c’est jamais beau à voir. On n’est jamais au fond du trou, il y a toujours moyen de creuser plus encore. Et je serai ravie de lui filer quelques coups de pelle."

"Quitte à être enfermée dans un trou perdu, autant trouver le moyen de s'amuser pas vrai ? Telle était mon idée lorsque je me suis rendue à une fête étudiante. Après quelques verres et quelques coups d'oeils de ci de là, j'avais trouvé chaussure à mon pied. Façon de parler, bien sûr. Ce qui me fait craquer, c'est les regards flamboyants et les comptes en banques remplis, et cette belle brune remplissait les deux critères, ça se voyait, ça se... sentait ! Alors, forcément, j'ai traversé la pièce, deux verres à la main, lui offrant l'un des deux. J'ai tout de suite été claire quand à mes intentions. Etrangement, elle ne semblait pas interressée. En mode "WTF ?" d'ailleurs. Mais, si je n'ai pas réussi à l'attirer dans mes filets ce soir là... Je ne me résigne pas. Je suis persuasive quand l'envie me prend, et cette brune représente un... défi personnel ? Ô, ma belle Dan, ne t'en fais pas... Je saurai te convaincre de me céder et de goûter aux délices de la chair..."

"Quitter la grande ville pour un trou paumé ? Qu'est-ce qui ne va pas chez cette fille ? Je haïs mes "parents" pour m'avoir envoyé ici, et elle, elle vient volontairement ? Y a quelque chose qui cloche chez elle. Désireuse d'en savoir plus, j'ai joué de mes talents, de mon sourire d'ange, et de mes relations, pour avoir accès à son dossier. Je pensais découvrir un viol, l'assassinat de sa famille, bref, un truc justifiant sa fuite. A la place, j'ai découvert une enfant adoptée, à l'âge de sept mois. J'avais envie de vomir. Des souvenirs personnels me sont revenus en tête, et j'ai détesté cette blonde ridicule à la seconde. Autre détail intéressant révélé dans son dossier : sa phobie de la foule et des lieux publics. La voir fouler le sol de cette université m'insupporte, et si je ne peux pas m'en échapper... Je trouverai le moyen de la dégager vite fait bien fait."

"Alors que je venais rendre visite à Gabrielle, pour tenter une fois encore de la convaincre d'aller flanquer l'affreuse chose couinante et bavante au fond d'un étang avec une pierre attaché à ses pieds, et de retrouver le chemin des boutiques de luxe, j'ai vu cette blonde sortir de chez elle. Arrêt sur image, je fouille dans ma mémoire. Je la connais, je la connais. Arrivée chez la Princesse Portugaise, je l'interroge, lui soutirant toutes les informations nécessaires. Une Rhodes ! Merveilleux, encore quelqu'un de mon monde ! Et le hasard fait bien les choses, le jour de mon emménagement chez les alpha gamma, je me rends compte qu'elle fait partit de la même sororité. Comment aurait-il pu en être autrement de toute façon ? Je l'approche, tout sourire, avide d'en faire une amie... Mais au fil du temps qui passe, je constate, avec effroi, qu'elle est bien différente de moi, semblant presque avoir envie de renier son nom par moment. EH OH ! Wake up ! Tu es une Rhodes, soit fière ! Elle est bien gentille et bien mignonne (si si, je vous jure... J'en aurai bien fait mon quatre heure !), mais elle me tape vraiment sur les nerfs parfois, à soupirer. Riche belle et jeune, de quoi elle se plaint ? Bloody fool !"

"Si brune, si belle... Je l'ai vu, et j'ai sentit mes sens s'émoustiller ! Un verre, un sourire, et elle finissait dans mon lit. Je ne suis pas du genre "prenons le petit déjeuner", mais quand je l'ai revu quelques jours plus tard, l'envie de remettre le couvert m'a prit. Sauf qu'elle m'a jeté, rejetée, repoussée. Jamais elle ne saura l'effet que ça m'a fait, les gens ne peuvent savoir ou comprendre réellement. Et quand on me vexe, je mords. Pourrir la vie des gens, tel est mon loisir, mon talent, mon don. J'aime ça, et j'y excelle. Mais je ne supporte pas que quelqu'un d'autre veuille pourrir la vie de ceux sur qui j'ai jeté mon divin dévolu. Et je l'ai jeté sur Joey. Mais il parait que je ne suis pas la seule à lui en vouloir. Est-elle de celle qui se met tout le monde à dos ? Attitude presque schizophrène avec elle : que personne ne s'avise de tenter de lui faire du mal, où il, elle, s'exposera aux foudres de mes colères à faire trembler Zeus lui-même. Il n'y a que moi qui en ai le droit. Je lui en veux, je la déteste. That's all ! Vraiment ?"

"Ô little rich girl ! Si jeune, si belle, si autoritaire, si... moi. Quand mes yeux se sont posés sur elle, ce fut le déclic dans mon esprit. Mon dieu, aurais-je donc trouvé mon âme soeur ? ENFIN une gamine riche à en crever qui ne patauge pas dans les couches ou ne rase pas les murs. L'Everson ne prend pas de gant, je ne tourne pas autour du pot : une main tendue, un sourire. Rejetée. Mon sourcil s'arque au dessus de mon oeil si bleu. What ? Vient-elle réellement de me repousser ? Est-ce qu'elle sait seulement les dommages qu'une rousse vexée peut causer ? Elle n'a pas voulu de mon amitié, et bien qu'à cela ne tienne. Elle n'a qu'à crever dans le ruisseau, je n'en ai que faire. Deux âmes si similiaires et identiques ne peuvent que se détruire. Ou faire de grandes choses. Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu"

"J'ai eu en tout et pour tout au cours de ma vie deux amies. Deux personnes que j'ai considéré comme telles. Aujourd'hui, je hais la première. Et la deuxième me hais. Nous nous sommes rencontrées il y a quelques temps maintenant. Rousse, comme moi. Peut-être que c'est ça qui m'a attiré chez elle. Ou bien son frère. Plus vieux, mais qui s'en soucie. J'étais bien avec lui, et elle. Ça a duré le temps d'un été. Ça aurait pu, du s'arrêter la. Mais non. Je pouvais pas. Envoyée en pension, j'ai passé plus de temps a revenir vers eux, lui et elle, surtout lui, qu'a rentrer a Washington. Et puis un soir, j'ai débarqué. En pleurs. Il était avec elle, ne m'attendant pas. Dans sa chambre, je lui ai dit que mes parents m'envoyaient a l'hôpital. Je ne voulais pas que Mackenzie le sache. Je n'pourrais plus venir. C'est la dernière fois que je l'ai vu, de mes yeux vus. Elle aussi. J'avais négocié mon téléphone. Ne pouvant plus ne plus lui parler. Et puis, un jour, il a sonné. Ce n'était pas Riley. Mackenzie. Pour me dire que Riley ne m'ecrirait plus. J'ai raccroché. Sans un mot. Je ne suis pas venue a l'enterrement. L'aeroport, dernier endroit ou j'ai vu Riley. Le seuil de la porte, dernier endroit ou j'ai vu Mackenzie. A moins que ce ne soit dans la file de la cafétéria. Ici. Dans le Wyoming."

« Un muffin et un grand café s’il vous plaît. » « On est en panne de café. » « Que…Quoi…J’ai BESOIN de café. C’est une question de vie ou de mort. Vous voyez, sans café, je n’arrive pas à être coordonnée. Sans coordination, je suis un danger public. Si je suis un danger public, personne n’est en sécurité, personne…Même pas vous monsieur le vendeur…Qui cachez probablement un reste de café moulu quelque part sous ce chapeau filet…Bref ce truc que vous portez sur la tête. » « Plus de café. » Je lève la tête, arrachée de mes pensées et de mon thé brûlant. Plisse les yeux, épis la jeune femme soi-disant dangereuse si elle n’a pas son café. Elle recule, je l’observe, me demandant quand elle allait tomber. Pas pour le moment. Elle passe à mes côtés, je tends ma tasse de café. « La théine c’est mieux que la caféine. » Je lui flanque entre les mains, et me lève d’un coup sec. Je n’en voulais même pas de ce thé, à vrai dire. Je remets mon sac sur mon épaule, et quitte l’endroit, direction le stade. J’ai un entraînement à assurer moi. Qu’elle vive heureuse avec ma tasse de thé, et apprenne à se détourner de cette substance amer et sans goût, j’ai nommé, le café. J’ai sauvé la vie de quelqu’un : ma BA du mois. Je peux recommencer impunément à être mauvaise, mon karma est sauf. Two days after. Occupée à copier attentivement le cours de politique américaine que je suis en train de suivre, une voix me tire de mes pensées « Oui, mais Monsieur Carter, ne croyez-vous pas que dans un contexte socio-politique différent les choses… » Je soupire. Tais-toi bon sang, y en a qui écoutent ! Mon soupir lui fait tourner la tête, je la regarde, elle me regarde. Ah, tiens. L’autre accro au café. Pourquoi ça ne m’étonne pas ? Je ne lui accorde qu’une demi seconde d’attention, puis reviens à un truc plus intéressant : le cours. De toute façon, je n’aurais sans nul doute jamais plus à la revoir. Sauf que ! Ahah. Voilà que je me retrouve à devoir écrire le portrait d’un politicien avec elle. Pourquoi ?! « Hilarie Clinton? » J’arque un sourcil. Pardon ? « Obama ?» Elle cherche à me tuer ? « Bill Clinton? » C’est de pire en pire ! « Si t’as mieux, vas-y, mais au risque de te décevoir Cleo Théine Everson n’est pas une option. » Je la toise. Voilà qui promets un devoir des plus agréables à rédiger !

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

"Le Wyoming. Le trou perdu des Etats-Unis, un pays de rustres, de malpropres, de bouseux, de mineurs (si si je vous le jure !). Bref, un endroit pas fréquentable. Et Théo, fier représentant du Wyoming, n'échappe pas à mon légendaire dédain. Sauf que... pour un bouseux, il est franchement plutôt pas mal. Je le déteste, on s'engueule tout le temps... Mais quand on est en manque, on sait à la porte de qui frapper. Et l'autre n'a pas vraiment son mot à dire..."

"Mmm, une superbe brune, au regard de feu, pétillante, et avec un superbe sac Chanel qui valait presque aussi cher que le mien... Voilà qui promettait d'égayer ma soirée ! Je l'approche, lui offre un verre, et quelques regards et sous-entendu plus tard, je l'avais presque dans ma poche, jolie hétéro avide de goûter aux joies du péché de chair puni par l'Eglise... Mais il a fallu que ce crétin lui fasse un compliment sur sa robe pour qu'elle se mette à papilloner des yeux, semblant m'oublier. Helloooooo, je suis là ! Du coup, je suis partie, d'extrèmement mauvaise humeur ! Et quand j'ai appri qu'il était le frère de cette pauvre tâche de London... C'est quoi le problème de cette famille ? Comme si devoir vivre dans ce trou n'était pas déjà assez pénible !"

"Clark...Clark... Ce nom me dit quelque chose, c'est dingue ! Mais oui ! Les super-mega-riche-Clark, amis de mes parents (les vrais, enfin... les biologiques) ! Voilà pourquoi ce beau jeune homme qui se donne des airs de cow-boy me disait quelque chose ! Forcément, les gens de notre monde étant rares, je me devais de l'approcher, de devenir amie avec lui... Et je n'aurais jamais penser que j'aurais pu en venir à l'apprécier pour de vrai ! Même s'il a l'air d'un cowboy, mais que voulez vous, les gens riches sont si excentriques parfois ! Il n'y a qu'une ombre à ce tableau si perfect ! ... Cet Austin Clark n'a rien à voir avec les Clark-Meg-Riches. Je ne voudrais pas être lui le jour où j'vais m'en rendre compte... (ni jamais, d'ailleurs...)"

"Pourquoi est-ce que j'ai fait ça ? Je n'sais pas, ça m'a juste... pris. Parfois, ça me prend, un coup de folie, une envie soudaine. Ce jour là, j'avais envie de jouer. Piano, bien entendu. Instrument royal, majestueux, qu'on m'avait fait apprendre. Un psychopathe russe, qui criait et laissait des flopés de gros mots plus qu'autre chose. J'étais bonne -je suis toujours bonne dans ce que je fais de toute façon-, ouais, c'est sûr. Une bonne technique en fait, plus qu'autre chose. Bref. Assise, seule dans la salle, j'étais en train de jouer, un morceau que je connaissais par cœur. Mes doigts frappaient les touches, inlassablement, jouant et jouant encore ce morceau. Et puis, la porte avait claqué, j'avais tourné la tête. Je n'aimais pas qu'on me voit jouer. Je n'aimais pas qu'on me dérange quand j'étais dans ces "moments là". Le pauvre homme allait s'en prendre plein la tête. Et ce fut encore pire quand il crû malin de me donner des "conseils" pour mieux jouer ledit morceau. What ? Mais pour qui il se prend celui là ?".

Je haissais déjà l'idée de devoir aller dans cet hôpital de merde, à m'faire suivre par des psys et des docteurs... J'avais l'impression d'être folle, et la vérité, c'est que j'allais le devenir si j'y restait ! Et pire encore, cet impertinent mal coiffé, l'air à l'ouest, qui débarque, me demandant ce que je "fous" là. Bonne question. Elle est où la blonde ? Morte, enterrée. Qu'est-ce que j'en sais, qu'est-ce que je m'en fous. Hein, quoi ? Balade ? Avec lui ? Plutôt mourir ! ... Huit mois. Et je me suis barrée, sans rien lui dire. Parce que c'était fini, cette vie, cette Cleo. Achevée, derrière moi, on tire un trait, on oublie. Mais le passé a une fâcheuse tendance à ne pas vouloir se faire oublier, et la vie semble adorer nous jouer de sales tours. C'est à mon tour de me demander ce qu'il fout là. Il me suit ? Enfin, me précède ? ... Saleté de... de... de pauvre imbécile !

"Alors c'est lui le fameux Siley dont on parle dans le dossier de Théa ? Mmm... Nice ass. Je l'approche, je lui souris. "Bonjour. Je connais Théa, et je veux vous aider." Une phrase, un mensonge. L'aider ? Jamais de la vie. Tout ce que je veux, c'est que cette fille disparaisse de ma vue. De la ville. Puisque je suis forcée d'y rester, je vais l'en faire partir, tout simplement. Et pour ça, j'ai un plan, très simple, ajouté à ce que je lui fais déjà subir... La rapprocher du jeune homme. Rapprocher le jeune homme d'elle... Et à la dernière minute ? Quand elle sent qu'elle est prête à lui retomber dans les bras ? Easy. Je fais croire à ce Siley qu'elle ne veut définitivement plus de lui et fréquente quelqu'un d'autre et, alors qu'il sera desespéré d'amour, je serai là pour récupérer les morceaux... Qui sait, si ça se termine sous la couette... Et quand Théa nous verra... Elle partira ENFIN !"

"Flâner dans une bibliothèque, m'enivrer de l'odeur des livres. Laisser courir mes doigt le long des reliures, et etre bien, tout simplement. Vous savez quoi ? La bibliothèque de cette ville pourrie est aussi pourrie que ses habitants et que la ville même. Et de ma franchise habituelle, je n'ai pas manqué de renseigner l'aide bibliothécaire ou peu importe son statut, à ce sujet. Et en plus, il est lent à la détente. Sérieux, quand je demande que tu m'apportes un livre, tu m'apporte le livre en question, point, le plus rapidement possible ! Un jour, n'y pouvant plus, je me suis emportée, m'exclamant que j'allais lui montrer une bibliothèque digne de ce nom. Sa réponse ? "Et moi, j'vais te montrer ce qu'est la vie" .... Je suis restée à le regarder, avant d'éclater de rire. La vie ? Mais qu'est-ce qu'il y connait à la vie lui ? Regarde toi ! Dude, tu vis dans le W.Y.O.M.I.N.G !"

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.

Toi tu dis que t'es bien sans moi et qu'au fond de mes bras il y fait trop froid, toi tu dis que t'es bien, que t'es bien, que t'es bien sans moi et moi y'a quelque chose qui fait que j'entends pas.